Burn-out : comment éviter le surmenage naturellement ?

Burn-out : comment l'éviter naturellement ?

Parfois qualifié de mal du siècle, le terme anglo-saxon “burn-out” figure aujourd’hui dans tous les dictionnaires français. Par exemple, le Larousse souligne l’origine professionnelle de ce mal-être : “syndrome d’épuisement professionnel caractérisé par une fatigue physique et psychique intense, générée par des sentiments d’impuissance et de désespoir”.

Sa traduction littérale signifie brûler de l’intérieur, se consumer. Entre stress du quotidien, sensation de surmenage, pression sociale, professionnelle et familiale, le cap du burn-out est vite franchi.

Si ce fléau touche particulièrement celles et ceux qui travaillent trop, il existe plusieurs types de burnout : professionnel, émotionnel, parental, brown-out ou bore-out. On peut même dire qu’il y a autant de formes que de victimes qui représentent entre 5 et 10% de la population.

Dans cet article, on vous explique tout ce qu’il faut savoir sur le burn-out, notamment ses symptômes, ses différentes formes, ses causes. On vous donne également des conseils pour agir en prévention et en soutien.

 

Quels sont les principaux symptômes du burn-out ?

Le burn out correspond à une usure à petit feuune sensation de surmenage qui monte crescendo. Il découle d’un stress excessif et répété qui se transforme progressivement en stress chronique qui pompe toute votre énergie. Il s’agit d’un épuisement qui affecte d’abord le moral, puis les capacités physiques et intellectuelles.

Les symptômes qui indiquent que votre burnout est sévère

Les symptômes du burnout sévère sont à la fois d’ordre psychique, émotionnel, physique et cognitif :

  • Épuisement émotionnel,
  • Hypersensibilité,
  • Isolement social et repli sur soi,
  • Dépersonnalisation ou cynisme,
  • Désengagement et démotivation,
  • Dépréciation, doutes sur ses compétences,
  • Anxiété,
  • Tristesse,
  • Manque d’entrain,
  • Comportement agressif, irritabilité,
  • Troubles du comportement alimentaire,
  • Addictions,
  • Asthénie (fatigue),
  • Troubles du sommeil,
  • Tensions musculaires ou articulaires, troubles musculo-squelettiques,
  • Troubles digestifs et maux de ventre,
  • Céphalées,
  • Vertiges,
  • Infections fréquentes,
  • Troubles cutanés,
  • Troubles de la mémoire, de l’attention et de la concentration,
  • Troubles des fonctions exécutives : penser, s’organiser, apprendre…

Le test Maslach ou questionnaire CBI permet de déterminer si vous avez les symptômes d’un burn-out. En cas de doute, vous pouvez également en parler à votre médecin.

Les symptômes qui font plutôt penser à une dépression qu’à un burnout

Il existe des symptômes communs entre les personnes victimes de burn-out et dépressives, notamment ceux liés à l’humeur. En effet, les deux se sentent tristes, moroses et perdent confiance en elles.

Néanmoins, le degré de tristesse varie. Dans le cas d’une dépression, la tristesse se caractérise comme une douleur constante, quasi-permanente, à la fois intense et sourde. Le motif de la tristesse n’est pas connu, ni précis. On perd le goût des choses et des rapports humains.

Une autre différence entre le burn-out et la dépression réside dans la perception du temps. Les personnes surmenées ont tendance à être hyperactives et à accumuler le nombre de tâches en une seule journée, alors que les personnes dépressives n’ont pas vraiment de notion du temps. Ces dernières se sentent davantage spectatrices du temps qui passe et de leur vie. Elles sont dans l’évitement et ont le sentiment d’être hors du temps.

En situation de burnout, on est souvent irritable, rapidement agacé. On ne supporte pas les autres, que ce soient les proches ou les collègues. Au contraire, quand on souffre de dépression, les autres n’ont pas d’importance, on est davantage dans l’indifférence.

La dépression se caractérise principalement par des symptômes psychologiques comme une grande tristesse inexpliquée qui dure longtemps, des idées noires, des ruminations, voire des pensées suicidaires.

 

Quels sont les différents types de burn-out ?

Il n’y a pas un, mais des “burn-out”.

L’épuisement professionnel : le type de burnout le plus connu

 

Burn-out professionnel

 

Le plus connu et répandu des burn-outs se caractérise par un épuisement professionnel.

Plusieurs facteurs liés aux conditions de travail y contribuent tels que :

  • La charge de travail,
  • La pression temporelle,
  • Une mauvaise organisation,
  • Le manque de reconnaissance,
  • Le manque d’équité,
  • Une mauvaise ambiance de travail,
  • Un management toxique ou inapproprié,
  • Un faible contrôle sur son travail,
  • Le manque de clarté des objectifs et des moyens,
  • Les conflits d’éthique et de valeurs,
  • L’insécurité de l’emploi

Ces facteurs se corrèlent avec des traits de personnalité individuels comme :

  • Le perfectionnisme,
  • Le surinvestissement,
  • L’incapacité à déléguer, à identifier ses limites, à dire non, à lâcher prise, à exprimer ou à soulager ses émotions,
  • Le manque de confiance en soi

Mais aussi avec des facteurs personnels comme :

  • Les responsabilités familiales,
  • Des problèmes de santé,
  • L’isolement et la solitude affective,
  • Des antécédents personnels et familiaux,

Le burn-out professionnel ne touche pas seulement les employés, mais aussi les patrons, les entrepreneurs ou les étudiants, bien que l’on parle respectivement du burn-out des entrepreneurs et du burn-out scolaire.

Chez les entrepreneurs, les facteurs déclencheurs les plus fréquents sont la peur de l’échec, le syndrome de l’imposteur, l’obsession du détail ou la comparaison excessive.

Quasiment inconnu il y a quelques années, le burn-out est devenu en peu de temps le mal du siècle et touche d’année en année de plus en plus d’actifs. Selon une enquête, il toucherait 34% des salariés français, dont 13% seraient en burn-out “sévère” (soit plus de 2,5 millions de Français).

Le burnout parental ou maternel : lorsque s’occuper de vos enfants vire au surmenage

 

Burn-out parental et maternel

 

Le burn-out parental touche les parents surmenés et n’a donc aucun lien avec le travail. Si les deux parents peuvent en être victimes, les mères restent les plus concernées. Dans ce cas, on parle de burn out maternel.

Burn-out parental ou maternel, les conséquences sont identiques : épuisement physique et émotionnel du parent, détérioration de la vie de couple, détachement vis-à-vis de l’enfant

De nos jours, les pères et les mères travaillent toute la journée. Quand ils rentrent chez eux pour s’occuper de leurs enfants, ils doivent faire face à l’effet “double-journée”, ce qui peut s’avérer épuisant et stressant.

Les parents d’enfants en bas-âge ou en situation de handicap sont les plus enclins au burn-out, car leurs enfants demandent davantage d’attention.

Le rôle du parent “parfait” peut également être une source de stress et de surmenage. En effet, certains parents sont très exigeants vis-à-vis de leur progéniture et d’eux-mêmes : alimentation bio et maison, éducation positive, interdiction des écrans…

Il existe aussi le burn-out familial qui touche surtout les femmes qui gèrent tout au sein de la maison. Comme les enfants, le mari se repose sur son épouse qui assume tout au sein du foyer : tâches ménagères, courses, cuisine, éducation des enfants…

Le burnout émotionnel : lorsque une surcharge d’émotions vous pousse dans vos retranchements

Le burn-out émotionnel découle d’une surcharge d’émotions, d’une trop grande charge affective. Cette dernière correspond au cumul des émotions, des sensations, des sentiments et des intuitions. Or, notre “réservoir” individuel est plus ou moins profond et étanche pour supporter le trop-plein.

Le brown-out et le bore-out : deux types de surmenage qui découlent d’une perte de sens

Enfin, le brown-out ou bore-out sont deux maux comparables au burn-out.

Contrairement au burn-out qui découle le plus souvent d’une surcharge de travail, le bore-out correspond à l’ennui au travail, quand on a une sous-charge de travail. L’ennui, l’absence d’objectifs, de défis ou de stimulation peuvent aussi mener à l’épuisement moral et à une détresse psychologique. Les symptômes de cette pathologie peuvent être graves : dépression, crises d’épilepsie, suicide…

Le brown-out vient de l’anglais “baisse de tension”. Cela apparaît chez les personnes qui ne comprennent pas le sens des tâches qui leur sont attribuées qu’ils trouvent absurdes ou aux antipodes de leurs valeurs. Souvent, le brown-out conduit les salariés à la démotivation, à la lassitude et à la fatigue. Ces derniers cherchent des excuses pour ne plus aller travailler ou démissionner. Dans les pires cas, il arrive qu’ils se replient sur eux-mêmes, perdent toute leur confiance en eux, dépriment, subissent des troubles du sommeil ou de la digestion.

 

Que faire pour éviter le burnout naturellement ?

Pour éviter ou sortir naturellement d’un burn-out, la première chose à faire est d’améliorer son hygiène de vie :

  • Savoir écouter son corps et ses limites,
  • Adopter une alimentation saine et équilibrée,
  • Limiter sa consommation d’alcool, de café et d’excitants en général,
  • Pratiquer une activité physique modérée et régulière,
  • Eviter les écrans et l’exposition aux réseaux sociaux,
  • Privilégier les activités relaxantes,
  • Dormir dès que la fatigue se fait sentir,

Toutes ces astuces permettent de prévenir le stress, l’anxiété, la fatigue et le surmenage. Si vous ressentez des signes avant-coureurs du burn-out, n’hésitez pas à les appliquer pour éviter que la situation ne s’aggrave.

Diminuer votre charge mentale ou votre charge de travail

Le burn-out survient suite à une charge mentale ou de travail trop importante.

Quoi de plus naturel que de limiter ces charges pour prévenir stress et surmenage.

Ralentissez votre rythme de vie personnelle et professionnelle. Prenez du temps pour prendre soin de vous. Accordez-vous des temps de repos où vous ne sur-sollicitez pas constamment votre corps et votre esprit. Maintenez un bon équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle, entre moments de labeur, de loisirs et de détente…

Lorsqu’un risque de burn-out est suspecté, il convient également d’en chercher les causes. Réduisez le rythme trop soutenu, éliminez de votre programme les petites tâches à l’origine de la sensation de surmenage. Les psychologues parlent de “lieux d’usure”.

En effet, si vous êtes à la limite du burn-out, il faut accepter votre condition le plus tôt possible. Prenez de la distance et de la hauteur pour identifier ce qui ne va pas et les causes de ce mal-être.

Afin d’éviter le burn-out sévère, vous devez prendre conscience du surmenage et ne pas être dans le déni. Plus vite, vous admettez qu’il y a un trop-plein, plus vite, vous pouvez prendre les choses en main pour inverser la tendance.

Lorsque votre source de stress est professionnelle, diminuez la charge de travail.

Dormir suffisamment : l’une des clés pour éviter l’épuisement

 

Burn-out et sommeil

 

En toute logique, pour éviter le sentiment d’épuisement, il faut dormir suffisamment. Dès que vous vous sentez fatigué, n’hésitez pas à prendre un temps de repos.

Le sommeil est indispensable pour que votre organisme recharge les batteries et récupère tant sur le plan physique que mental.

Faites des nuits assez longues. Un adulte dort en moyenne 7 à 8h par nuit, mais les besoins varient selon chaque individu.

Veillez aussi à ce que votre sommeil soit réparateur et de qualité.

Les difficultés d’endormissement, les insomnies ou le sommeil perturbé sont des conséquences directes du stress qui doivent vous alerter et être surveillées. Si vous dormez mal trop fréquemment, vous pouvez adopter des solutions naturelles comme des cures de plantes apaisantes et sédatives : valériane, passiflore, griffonia, millepertuis, houblon…

Quand on suspecte un risque de burn-out, il importe de bien dormir, car le repos constitue l’une des clés de la guérison.

Manger sainement : une étape essentielle pour éviter de manquer d’énergie et mieux gérer le stress

Manger équilibré et sainement vous apporte tous les nutriments nécessaires pour être en forme physique et mentale. C’est de la nourriture que votre corps puise tonus et énergie. En revanche, une alimentation pauvre nutritionnellement engendre fatigue et baisse de moral. En effet, la flore intestinale est en étroite relation avec le système nerveux.

 

Alimentation saine et équlibrée pour éviter naturellement le burn-out

 

Privilégiez les aliments riches en vitamines, en minéraux et en oméga-3 pour combattre le stress et la fatigue, mais aussi booster vos performances physiques et intellectuelles. Le magnésium, les vitamines B et C, le fer et les oméga 3 sont des nutriments anti-stress.

Pour combattre le stress et améliorer votre équilibre nerveux, psychique et émotionnel, veillez à vos apports en magnésium. Vous en trouverez notamment dans les fruits secs, les céréales, les oléagineux, le chocolat et les fruits de mer. Les vitamines B6, B9 et B12 contribuent à la production d’hormones anti-dépressives telles que la dopamine et la norépinéphrine. Quant aux oméga 3, présents dans les poissons gras, les oléagineux et les huiles végétales, ils possèdent aussi des propriétés anti-dépressives.

Ainsi, on conseille aux personnes victimes de burn-out de surveiller et de modifier leur alimentation. Bien qu’il n’existe pas de régime miracle, certains aliments peuvent vous aider à maintenir le cap. Par exemple, le chocolat, riche en magnésium, en vitamines B et en antioxydants, stimule la production d’endorphines, les hormones du bien-être. Les féculents aident à vaincre les coups de fatigue et apportent du tryptophane, un acide aminé essentiel qui favorise la sécrétion de sérotonine, hormone du bonheur. Les fruits et légumes vous procurent vitamine C et antioxydants, alors que les produits laitiers, riches en tryptophane et en calcium, sont propices à la détente et au sommeil. Pleins de vitamine B9, les fruits oléagineux comme les noix, sont idéaux pour vaincre et éviter le stress. Enfin, les légumineuses, riches en vitamine B9 et magnésium, aident à calmer le stress, l’anxiété et la fatigue.

Si vous ressentez le besoin d’un rééquilibrage alimentaire, pensez à la spiruline en paillettes qui possède une composition nutritionnelle exceptionnelle.

 

Cure de spiruline pour lutter contre le surmenage

 

Anticiper les changements de saison : se supplémenter pour mieux supporter ces moments charnières sensibles

Les changements de saison sont éprouvants pour votre organisme et le moral. Si le burnout existe à toutes les saisons, les risques de manifestation lors d’un changement de saison, notamment lors du passage à l’hiver, sont plus élevés. En effet, lors de ces périodes charnières, notre organisme est plus affaibli. De plus, l’ensoleillement et la luminosité diminuent. Le déficit de lumière a tendance à fragiliser le moral et le sommeil.

Afin d’éviter toutes les répercussions dommageables des changements de saison, propices à la fatigue, au stress et à la baisse des défenses immunitaires, n’oubliez pas les cures de compléments alimentaires. Retrouvez, dans cet article, les 10 meilleurs compléments alimentaires naturels les plus efficaces.

Pour vous apporter le tonus nécessaire aux changements d’heure et de climat, n’hésitez pas à faire une cure de phycocyanine ou de notre combo phycocyanine et cuivre. Notre phycocyanine liquide, extraite à froid et sans solvant de notre spiruline, constitue une véritable source de bien-être aux propriétés scientifiquement prouvées.

Faire du sport : un bon moyen de relâcher les tensions et de libérer des endorphines

Pratiquer une activité physique contribue également à relâcher les tensions, à évacuer le cortisol, l’hormone du stress et à stimuler la production d’endorphines, les hormones du bien-être. Le sport agit tel un antidépresseur naturel qui favorise la régulation de l’humeur et du stress. De plus, il permet de mieux dormir et de développer sa confiance en soi.

Pour être bénéfique, vous devez faire du sport de manière modérée et régulière, environ 20 minutes, 3 fois par semaine. Au contraire, une activité trop intense peut causer du stress et un déclin du système immunitaire. D’ailleurs, le burn-out pourrait être l’une des conséquences du surentraînement.

Nous vous recommandons la pratique de sports cardio comme la course à pied, le cyclisme et la natation. N’hésitez pas non plus à privilégier les activités douces et relaxantes telles que la marche à pied, le yoga et la méditation. Favorisez également les exercices de respiration pour mieux contrôler vos émotions, maîtriser le stress et réguler vos tensions cardiaques. Enfin, préférez pratiquer votre activité en plein air pour faire le plein de vitamine D.

Retrouvez, dans cet article, les meilleurs sports anti-stress.

Préférer des alternatives naturelles douces aux excitants comme la caféine

Quand on a un coup de mou, on a tendance à boire davantage de café. Or, la consommation de caféine permet seulement de camoufler les effets de la fatigue, mais n’apporte aucune solution pérenne. On se croit moins fatigué, mais on ne l’est pas. De plus, l’excès de caféine accroît le stress. On se retrouve ainsi dans une spirale infernale.

De manière générale, évitez les excitants. Préférez les alternatives naturelles et plus douces à la caféine. Découvrez ici notre article sur les meilleurs substituts naturels au café.

Limitez votre exposition aux réseaux sociaux

De plus en plus, on entend parler du burn-out des réseaux sociaux.

Sans en arriver jusque-là, les écrans et l’exposition aux réseaux sociaux sont source de stress et de servitude.

Les influenceurs affichent une vie parfaite et heureuse, peu révélatrice de la vie normale. Ainsi, on a tendance à se comparer et à se trouver nul.

Pour ceux qui postent sur les réseaux sociaux, il y a aussi le stress de toujours avoir l’air parfait, sans compter la tyrannie des algorithmes.

En somme, les réseaux sociaux nous soumettent à une pression sociale de laquelle on se passerait bien.

Se tenir à l’écart de l’alcool : une fausse bonne amie qui peut vous envoyer en dépression

Comme le café qui dissimule la fatigue, l’alcool camoufle les problèmes. On les oublie le temps d’une soirée.

Néanmoins, quand on se sent fragilisé, il est primordial de se tenir à l’écart de l’alcool ou du moins d’en limiter sa consommation.

Effectivement, sa consommation peut aggraver les symptômes d’un burn-out léger et vous conduire vers un burn-out sévère, une dépression ou bien sûr l’alcoolisme.

Sans compter que les addictions comptent parmi les symptômes du burn-out. Il est rapide de se retrouver dans un cercle vicieux quand on a le moral à zéro !

Que faire si vos symptômes de burnout ne s’améliorent pas ?

Consulter un médecin pour lui faire part de vos symptômes et éventuellement vous faire arrêter

Vous avez ralenti le rythme, vous êtes reposé, avez adopté une routine saine, mais ne voyez aucune amélioration ? Nous vous conseillons de ne pas laisser traîner davantage et de consulter votre médecin généraliste.

En effet, seul votre médecin pourra vous aider à identifier la source du problème et mettre en place une prise en charge adaptée pour diminuer les conséquences de certains troubles : conseils et traitements médicamenteux.

S’il s’agit d’un burn-out professionnel, il pourra vous prescrire un arrêt de travail, souvent indispensable pour se remettre sur pied. La durée de l’arrêt varie entre quelques jours et plusieurs mois selon la sévérité du burn-out.

Consulter des spécialistes de la santé mentale et du burnout pour traiter votre surmenage et éviter les récidives

 

Burn-out vs dépression

 

N’oubliez pas que le burn-out peut mener à la dépression, une pathologie plus grave et longue à prendre en charge. N’attendez pas avant de vous faire accompagner par un psychiatre qui confirmera ou infirmera le diagnostic de votre médecin traitant. Il vous orientera sur une prise en charge psychothérapeutique et/ou vous prescrira un traitement médicamenteux.

Les thérapies comportementales et cognitives (TCC) permettent notamment de traiter le burn-out et les troubles émotionnels liés, d’identifier précisément les facteurs déclencheurs et de mieux connaître ses limites. Ainsi, vous pouvez mettre en place de nouvelles habitudes pour vous soulager, mais aussi éviter les risques de récidives.

 

Conclusion

Chaque année, nous sommes de plus en plus nombreux à souffrir de burn-out en France. Si sa forme la plus répandue est l’épuisement professionnel, le burn-out est pluriel et revêt différentes formes : professionnel, bore-out, brown-out, scolaire, parental, familial, émotionnel…

Peu importe la forme, les conséquences restent plus ou moins les mêmes avec des symptômes d’ordre émotionnels, psychiques, physiques et cognitifs.

Si une bonne hygiène de vie peut suffire à se remettre sur pieds ou à éviter le surmenage, les formes les plus sévères nécessitent une prise en charge médicale. En cas de doute, il est préférable de consulter votre médecin traitant.

Pour vous apporter tonus physique et mental, n’oubliez pas les cures de fond de phycocyanine ou de spiruline !

Faire du sport le matin : bonne ou mauvaise idée ?

Faire du sport le matin : bonne ou mauvaise idée ?
Réduction du stress et des tensions, perte de poids, gain de masse musculaire, amélioration du cardio et de l’endurance, boost du système immunitaire… On ne compte plus les bienfaits du sport sur la santé physique et mentale. Le saviez-vous ? Selon l’heure de la journée et le métabolisme de chacun, une session d’exercices physiques peut être plus ou moins bénéfique. Pour profiter de toutes les vertus du sport, il faut en faire une routine, soit programmer quotidiennement, ou du moins régulièrement, ses séances à la même heure. Dans cet article, on vous dit tout à propos de la pratique sportive matinale : avantages, inconvénients et conseils. Vous pourrez ainsi décider si faire du sport le matin est fait pour vous ou non.  

Faire du sport le matin ou faire du sport le soir : l’éternel débat

Pratiquer une activité physique régulière est essentiel pour son bien-être. Mais vaut-il mieux faire du sport le matin ou faire du sport le soir ? Le débat subsiste depuis des décennies et n’est pas prêt d’être clos. Selon l’heure de la pratique sportive, les bénéfices diffèrent comme le prouve cette étude parue en 2022 dans la revue CELL Metabolism. Ce qui convient à certains peut ne pas convenir à d’autres et vice-versa. À ce sujet, le site Maxisciences explique que « toutes nos cellules contiennent une version de l’horloge moléculaire. Synchronisées dans tout le corps, ces “horloges internes” ont notamment un impact sur la température de celui-ci, la glycémie, la pression artérielle, la faim, le rythme cardiaque ou encore les niveaux d’hormones. Mais ces “rythmes internes” sont malléables et peuvent donc être recalibrés selon les habitudes de chacun ». De nombreux scientifiques préconisent de faire du sport le matin, alors que d’autres, au contraire, vantent les mérites de la pratique sportive dans l’après-midi ou le soir. Qu’en est-il vraiment ?  

Faire du sport tôt le matin, voire dès le réveil : une routine de plus en plus populaire

Ces dernières années, de plus en plus d’athlètes et de scientifiques encouragent à faire du sport tôt le matin et plutôt à jeun. Cette routine semble avoir le vent en poupe et être bénéfique pour commencer la journée du bon pied. Zoom sur les avantages des séances sportives matinales.  

Les avantages de faire du sport le matin plutôt que le soir

  Faire du sport le matin : avantages et inconvénients   À condition de s’échauffer correctement, le matin représente un moment idéal pour pratiquer une activité sportive, car votre organisme est frais et en pleine forme. Cela permet de réveiller le corps et l’esprit pour bien commencer la journée, notamment grâce à la production d’endorphines.

Vous pouvez libérer des créneaux avant le travail pour votre sport plus facilement

Il est souvent plus facile de bloquer un créneau pour faire du sport en début de journée, avant le travail, plutôt qu’en fin de journée. Programmer votre séance de sport le matin permet de ne pas la remettre à plus tard et de prendre le risque de ne pas la faire. En effet, que ce soit un verre entre collègues ou avec des amis, un repas professionnel ou une obligation familiale, le risque d’avoir un imprévu et d’annuler sa séance de sport du soir est plus fréquent. De plus, vous risquez de vous démotiver et de vous sentir épuisé de votre journée. En somme, le sport le matin est moins propice à se trouver des excuses. Si vous êtes naturellement matinal, profitez donc des avantages des séances d’entraînement le matin pour une journée plus sereine et productive.

Faire du sport le matin permet de s’exercer à jeun et d’être en état de cétose facilement

Faire de l’exercice le matin à jeun permet à votre corps de brûler davantage de graisses, environ 20% de plus que si vous veniez de manger. C’est ce qu’on appelle l’état de cétose. En effet, lorsque l’on est à jeun, l’organisme doit produire et extraire de l’énergie à partir des réserves de graisses existantes, car il ne peut pas utiliser de nourriture tout juste consommée et les stocks de glycogène ont été utilisés dans leur intégralité pendant la nuit. Certains scientifiques soulignent également que la pratique sportive matinale est plus propice à la “post-combustion” et donc à la perte de poids au fil du temps. De manière générale, faire du sport le matin stimule le métabolisme. Or, un métabolisme élevé favorise la consommation d’énergie. En outre, quand on fait de l’exercice dès le matin, on diminue l’appétit et les fringales, car l’activité de la ghréline et du peptide YY, deux hormones de la faim, se modifient.

Certaines hormones comme la testostérone sont à leur plus haut niveau

Nos taux hormonaux, notamment de testostérone, varient selon les différents moments de la journée. La testostérone est une hormone de croissance qui contribue à alimenter l’énergie et le gain musculaire à partir de la synthèse des protéines. Quand on pratique un entraînement le matin, le taux de testostérone est à son pic. Au lever, les niveaux de testostérone montent en flèche et peuvent être 30% supérieurs à ceux du soir. De plus, faire du sport le matin à jeun favorise la production de testostérone grâce à l’augmentation de 67% des taux d’hormones lutéinisantes.

Le sport dès le réveil permet de démarrer la journée du bon pied

Pratiquer une activité physique dès le réveil permet de triplement bien commencer votre journée. En effet, le sport matinal vous aide à :
  • Stimuler votre circulation sanguine et votre énergie : entre 6 et 8h du matin, l’hormone du stress ou cortisol atteint son niveau le plus haut, ce qui encourage le corps à se mettre en action.
  • Améliorer votre humeur toute la journée : le sport matinal contribue à la production d’endorphines, les hormones du bien-être et du bonheur. Vous passez ainsi une journée plus détendue, moins stressée. La production d’autres hormones comme la sérotonine (anti-dépressive et régulatrice du sommeil) et de la dopamine (augmentation de la vigilance et diminution de la sensation de fatigue) augmente.
  • Vous rendre plus productif et motivé : des études prouvent que faire du sport le matin favorise l’énergie, la concentration, la vigilance, l’éveil, la sociabilité et la prise de décision.

Faire du sport le matin favorise le sommeil

  Respecter votre cycle du sommeil quand vous faites du sport   Quand vous faites du sport au réveil, vous dormez mieux le soir. Effectivement, le sport matinal favorise l’endormissement, la longueur des nuits et une meilleure qualité de sommeil comme l’indique l’étude de 2011 des chercheurs de l’Université d’Etat des Appalaches. Au contraire, faire du sport le soir, quelques heures avant le coucher, agit comme un énergisant et énervant. Ceci peut donc perturber et nuire à votre cycle et qualité de sommeil. Faire du sport le matin une routine influence le rythme circadien et avance votre horloge biologique. Votre organisme devient plus alerte le matin et fatigué le soir. Ainsi, vous vous endormez plus rapidement, faites des nuits plus longues et bénéficiez d’un sommeil profond et réparateur. En améliorant votre rythme circadien et cycle du sommeil, vous facilitez la croissance et la récupération musculaires, ce qui vous permet d’améliorer vos performances, votre endurance et de gagner en force physique.  

Les inconvénients de faire du sport le matin

Si faire du sport le matin présente bien des avantages, il n’est, néanmoins, pas exempt d’inconvénients. Plusieurs facteurs tendent à perturber votre entraînement : fatigue, faim, froid, manque d’échauffement, baisse des performances… De plus, le matin de bonne heure, le choix des activités physiques accessibles est plus limité.

Se lever tôt le matin pour faire du sport peut être compliqué si vous n’êtes pas matinal

Pratiquer une activité physique le matin suppose de se lever tôt, voire très tôt, notamment pour ceux qui travaillent ou ont des impératifs. Si ce n’est pas un problème pour les plus matinaux, en revanche, il en est autrement pour ceux qui sont du soir. D’ailleurs, il est préférable de ne pas vous forcer à vous réveiller de bonne heure pour faire du sport, au risque de nuire à votre cycle biologique et d’interrompre votre sommeil profond. Se réveiller quand ce n’est pas encore l’heure provoque de l’inertie du sommeil et parfois même des insomnies et de la fatigue chronique. De plus, vous trouverez certainement moins d’amis pour faire du sport le matin que le soir, ce qui peut s’avérer démotivant pour ceux qui aiment faire du sport à plusieurs.

Les matins d’hiver peuvent être froids

En hiver, le soleil se lève plus tard et les matinées peuvent être glaciales. Cet argument peut clairement peser sur votre motivation à faire du sport le matin de façon régulière et assidue.

Une activité physique trop intense peut vous fatiguer pour le reste de la journée

  Sport le matin : fatigue et manque d'énergie   Certaines activités sont trop extrêmes pour une pratique sportive matinale, parfois à jeun. On vous déconseille de pratiquer des séances intenses au risque de vous épuiser pour le reste de la journée. Ainsi, on privilégie les séances de cardio de 30 à 45 min, par exemple, de jogging lent, de natation, de vélo ou bien des activités douces comme le réveil musculaire ou le yoga.

Il est peu probable que vous fassiez vos meilleures performances dès le réveil

De manière générale, les performances physiques ne sont pas optimales au réveil. On se sent souvent plus gauche ou raide en se levant. C’est pourquoi il est primordial de commencer sa séance de sport du matin par une longue session d’échauffement. Celle-ci permet de réveiller doucement vos muscles et articulations sans risquer de vous blesser et de faire augmenter la température corporelle progressivement. La force et la puissance sont moins au rendez-vous le matin que le soir, ce qui empêche l’atteinte de vos performances sportives maximales. Pour certains sportifs aguerris ou ceux à la recherche de performances, cela peut s’avérer frustrant. Préférez faire du sport l’après-midi si vous cherchez à développer votre masse musculaire ou votre force. De plus, si votre dîner est trop léger et que vous faites l’impasse sur le petit-déjeuner avant de vous entraîner, vous risquez de manquer de carburant, ce qui nuit aussi aux performances physiques. Sans compter que ressentir une sensation de faim au milieu de sa séance n’est jamais agréable. Néanmoins, il est possible de mieux gérer sa faim par la mise en place d’une routine.

Vous risquez de vous coucher avec les tensions de la journée

Faire du sport trop tardivement nuit au sommeil. Néanmoins, la pratique sportive en fin de journée aide à atténuer les frustrations, à évacuer les tensions et le stress accumulés au boulot. Quand on fait du sport le matin, on commence la journée du bon pied, mais on la finit peut-être moins bien. À méditer !  

Nos conseils si vous souhaitez faire du sport le matin dès le réveil

Comme toujours, le meilleur conseil que l’on puisse vous donner est de veiller à maintenir l’équilibre entre entraînement, alimentation, récupération et sommeil. Suivez le programme sportif qui vous convient à l’heure qui vous convient pour éviter les risques de décrochage. Dans le cas d’une routine sportive matinale, suivez les quelques conseils suivants pour en dégager un maximum de bénéfices et vous sentir en forme !

Diminuez l’intensité de vos entraînements matinaux pour ne pas être épuisé le reste de la journée

Évitez les séances et disciplines sportives trop intenses si vous faites du sport le matin. Sinon, vous risquez d’y laisser toute votre énergie de la journée et d’aller travailler sur les rotules. Vous pouvez pratiquer des sports cardio ou d’endurance d’intensité modérée, durant un laps de temps raisonnable, entre 30 et 45 minutes. En effet, il vaut mieux bannir les efforts prolongés. Si vous pratiquez votre activité physique à jeun, privilégiez les sports plus doux, tels que la natation, la marche rapide, le footing en endurance fondamentale, le vélo, les exercices de renforcement musculaire et cardio à intensité modérée ou encore le yoga. Les sports trop intensifs comme la musculation avec des poids lourds, le HITT, le circuit training, les sprints et intervalles courts en course à pied, natation ou vélo sont à proscrire. Si vous prenez votre petit-déjeuner avant le sport, laissez-vous le temps de digérer et attendez entre 1h30 et 2h.

Ne vous entraînez pas tous les jours au début, habituez-vous en douceur

Si vous débutez le sport le matin ou que vous n’êtes pas des plus matinaux, habituez-vous à votre nouveau rythme en douceur et sans forcer. Commencez par des séances courtes régulières, mais pas tous les jours. Dans le cadre d’une pratique sportive matinale à jeun, commencez par une séance par semaine. Progressivement, vous pourrez augmenter l’intensité de l’effort, la durée et le nombre de séances hebdomadaires.

Accordez une attention particulière aux échauffements

Quand on vient de se lever, le corps est à froid dans tous les sens du terme. En effet, nos muscles et articulations sont plus raides, notre température corporelle et notre rythme cardiaque sont bas.   Avant de faire du sport le matin, échauffez-vous longuement   C’est pourquoi quand on fait du sport tôt le matin, il convient d’accorder une attention particulière à l’échauffement. Le temps d’échauffement est plus long que lorsque l’on pratique une activité physique le soir. Chaque séance de sport matinale doit ainsi être précédée d’exercices d’étirement et de mobilité articulaires pour éviter les risques de blessures. Vous pouvez, d’ailleurs, commencer vos exercices d’étirement dans votre lit. Faire remonter progressivement la température de votre organisme permet de dilater les vaisseaux sanguins qui approvisionnent mieux vos muscles en oxygène.

Se lever tôt pour faire du sport implique toujours de se coucher plus tôt le soir

Tandis que vous vous levez très tôt pour faire du sport, il faut veiller à conserver des cycles de sommeil suffisamment longs. Ainsi, plus vous avancez l’heure du lever, plus vous devez avancer l’heure du coucher. Élémentaire, mon cher Watson ! Avant une séance de sport, votre organisme doit être bien reposé. En effet, le sommeil est nécessaire à la récupération et aux performances sportives. Au contraire, un manque de sommeil a de nombreuses conséquences négatives sur l’organisme : manque de tonus, baisse des défenses immunitaires et des performances physiques, risques de blessures et d’hypertension, vieillissement cellulaire… Généralement, on préconise des nuits de 7 à 8h pour les adultes. Cependant, chaque individu a ses propres besoins. On ne le répétera jamais assez, mais restez à l’écoute de votre corps. N’enchaînez pas une séance de sport le soir avec une séance le lendemain matin. Il n’est jamais bon de sur-solliciter son corps et ses muscles. Sachez que la pratique sportive matinale facilite l’endormissement le soir. Octroyez-vous quelques jours pour que votre organisme adopte cette nouvelle routine.

Buvez beaucoup pour rester hydrater

  Faire du sport le matin : bien s'hydratez   S’il est possible de faire du sport le matin à jeun, n’oubliez pas de vous hydrater. En effet, la déshydratation peut être à l’origine de blessures musculaires et tendineuses. On vous conseille de boire un grand verre d’eau dès le réveil, puis quelques gorgées avant et pendant la séance. Après l’entraînement, buvez autant que vous le souhaitez. Pendant le sport, pensez aux boissons énergisantes et après le sport aux boissons de récupération. Les boissons, source d’électrolytes, permettent de compenser les pertes de sodium et de potassium perdus dans la transpiration.

Sport à jeun le matin ou le soir, il vous faudra une alimentation équilibrée pour la récupération sportive

Pratiquer une activité sportive à jeun puise dans les stocks de nutriments de votre organisme. Pour que votre corps récupère convenablement, on vous conseille de privilégier une alimentation équilibrée après les séances. Le matin, on n’a pas toujours le temps de prendre son petit-déjeuner et de digérer pendant 2h avant sa séance. C’est pourquoi il est préférable de faire du sport à jeun, puis de petit-déjeuner après la séance. Adoptez une alimentation suffisante la veille au soiret prenez votre petit-déjeuner immédiatement après la séance pour disposer de l’énergie nécessaire, reconstituer les stocks énergétiques et favoriser la récupération. Un petit-déjeuner complet après le sport doit inclure le triptyque : glucides, protéines et lipides. Les protéines doivent dominer le trio dans une optique de construction et réparation musculaire. Certains aliments, tels que le lait (calcium et protéines), les fruits et légumes alcalinisants (pleins de vitamines et de minéraux) ou les oléagineux (oméga-3) favorisent la récupération. Un petit-déjeuner idéal se composera, par exemple, d’une boisson pour la réhydratation, de céréales pour l’énergie et la récupération, d’un produit laitier, d’un fruit ou d’un jus. Pour varier les plaisirs, voici quelques propositions de menus intéressants après une séance de sport matinale :
  • Bol de flocons d’avoine, baies (myrtilles, cassis…), oléagineux (noix, amandes…) et fromage blanc.
  • Tartines de pain complet accompagnées d’œufs brouillés, d’avocat et de tomates séchées.
  • Tartines de pain de seigle avec du beurre d’amande et des rondelles de banane fraîche.
  Faire du sport le matin : adoptez une alimentation saine  

Complémentez votre alimentation pour avoir de l’énergie après vos sessions matinales

N’hésitez pas à associer votre routine sportive du matin à une supplémentation afin de vous apporter du tonus musculaire, d’améliorer vos performances et votre endurance, mais aussi de favoriser la récupération. Dans ce cas, notre phycocyanine, la Spiruline Bleue +, est la plus appropriée. Pour les sportifs aguerris qui cherchent à repousser leurs limites, essayez notre Ultra Spiruline Bleue +.

Conclusion

Faire du sport le matin présente des avantages et des inconvénients, tout comme faire du sport le soir. Ainsi, pour répondre au débat du meilleur moment de la journée pour pratiquer une activité sportive, il faut savoir s’écouter. Effectivement, selon vos besoins, votre mode de vie et vos capacités, il peut être plus intéressant de faire du sport le matin que le soir ou vice-versa. L’activité sportive doit s’adapter à votre routine quotidienne pour ne pas devenir un fardeau. Vous êtes matinal ou souhaitez perdre du poids ? Les séances de sport matinales sont à privilégier. Pour les exercices de force et de puissance, il semble préférable d’opter pour des entraînements en fin d’après-midi. Dans le cadre de la préparation d’une compétition, programmez vos séances d’entraînement à une heure similaire pour préparer l’organisme au rythme voulu. Dans tous les cas, il convient de respecter votre chronotype de sommeil. Si vous êtes “une alouette” qui naturellement s’endort à 22h et se réveille à 6h, le sport du matin est fait pour vous, tandis que “les hiboux” qui ne s’endorment pas avant 1h et ont du mal à se réveiller le matin, préféreront les séances sportives du soir. Cependant, rien n’est figé dans la roche et il est possible de faire évoluer progressivement ses habitudes et son biorythme naturel. Pour connaître l’impact d’un entraînement matinal sur votre organisme, l’idéal reste de tenter l’expérience et ce pendant deux semaines minimum. Restez à l’écoute des signaux et voyez si vous vous sentez énergisé ou, au contraire, fatigué pour le reste de la journée. Essayez également de vous entraîner à jeun ou après le petit-déjeuner pour voir ce qui vous convient le mieux.

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Spiruline enceinte : dangereuse ou bénéfique pour la grossesse ?

Grossesse : spiruline enceinte

Bien que la grossesse appartienne aux moments heureux d’une vie, elle n’en est pas moins éprouvante pour les futurs parents.

Les femmes enceintes se sentent plus facilement fatiguées et sont souvent victimes de carences. Du côté des futurs papas, les émotions vont bon train et le stress commence à monter.

Si l’on vante fréquemment les avantages de la spiruline, un superaliment bénéfique pour la vitalité, l’endurance et la récupération, qu’en est-il pour les femmes enceintes ? Sa consommation est-elle sans risque pendant la grossesse et peut-elle être intéressante dans ce contexte ?

Dans cet article, on vous explique sans tabou s’il est judicieux ou non de faire une cure de spiruline enceinte.

 

La grossesse : un moment délicat pour l’organisme des futurs parents

 

Grossesse : spiruline enceinte

 

Fatigués, épanouis, surmenés, en forme, stressés ou détendus, les futurs parents passent par de nombreux états au cours de la grossesse.

Le poids sur leurs épaules peut être lourd et il est normal de se sentir malmené.

La grossesse peut énormément fatiguer la femme enceinte

Durant la grossesse, le corps d’une femme connaît de nombreuses mutations physiologiques et variations hormonales. Ces changements sont à l’origine de la fatigue dont les femmes enceintes font souvent les frais.

Dès le début de la grossesse, l’implantation puis la croissance du fœtus causent de la fatigue, parfois intense.

En effet, lorsque l’œuf s’implante dans la muqueuse utérine, votre taux de progestérone grimpe en flèche. Or, cette hormone agit tel un sédatif et peut être à l’origine de somnolences.

Lors des premiers mois de la grossesse, le flux sanguin augmente et le rythme cardiaque s’accélère, ce qui est également énergivore.

Enfin, le début de grossesse s’accompagne parfois de symptômes désagréables et fatigants comme les nausées et les vomissements.

La fatigue physique n’est pas la seule à entrer en jeu puisqu’elle entraîne à son tour une fatigue morale, psychologique.

Sans compter, que lorsque l’on est enceinte, on dort moins bien et le sommeil est moins récupérateur. Pendant la nuit, vous ressentez peut-être des crampes, des tensions, des douleurs dans les seins, une envie fréquente d’uriner. Tous ces facteurs font que vous vous réveillez épuisée le matin.

À cela, s’ajoute une pincée de stress et d’anxiété, notamment s’il s’agit de votre premier enfant, ce qui peut aussi jouer sur votre sommeil et fatigue.

Beaucoup de femmes enceintes ont des carences en fer, en iode, en vitamines et en folates durant leur grossesse

Les femmes enceintes ont des besoins élevés en nutriments pour se prémunir de carences, dont elles sont souvent victimes. C’est pourquoi il faut revisiter son alimentation lors de la grossesse.

Les carences les plus fréquentes sont celles en fer, en vitamines, notamment en vitamines B, en calcium et en iode.

Ainsi, durant la grossesse, il est primordial de contrôler ses apports.

En moyenne, une femme doit consommer minimum 20 mg (voire 25-35 mg) de fer par jour pendant la grossesse pour pallier les déficiences. Plusieurs études françaises établissent que 60 à 70% des femmes enceintes manquent de fer, et 50% d’entre elles seraient en déplétion totale de ce minéral. Pourtant, ce dernier est essentiel au bon déroulement de la grossesse en contribuant à l’augmentation de la masse des globules rouges, à la constitution du placenta et des tissus du fœtus… En cas de déficience en fer, vous pouvez subir de l’anémie, de la fatigue, une baisse de moral, mais aussi des difficultés à l’accouchement, sans compter que le bébé risque lui aussi d’être en carence. Une carence en fer chez un nouveau-né peut entraîner un affaiblissement du système immunitaire, une prédisposition aux allergies, ou encore des troubles du développement physiologique et mental.

Les autres carences les plus fréquentes concernent les vitamines B, notamment B9 (et par effet de rebond les folates) et B12, la vitamine D, le calcium ou encore l’iode.

De manière générale, pallier les carences et en contrer les risques est primordial pour votre bonne santé et celle de votre futur bébé. En effet, votre alimentation pendant la grossesse a un impact direct sur la santé du fœtus et du bébé, mais aussi sur l’expression des gènes, due aux processus épigénétiques. À ce sujet, le Dr Laurence Benedetti, médecin généraliste spécialisé en micronutrition, souligne que “pendant la grossesse, il ne faut pas manger deux fois plus, mais deux fois mieux.”

Veillez donc à vos apports en :

  • Vitamine B9 : elle intervient dans la formation du cerveau et de la colonne vertébrale de l’embryon. Un déficit en vitamine B9 entraîne des risques de mauvaise croissance ou de malformations.
  • Vitamine B12 : elle participe à la fabrication des globules rouges et au bon fonctionnement du système nerveux du futur bébé. A contrario, une carence en vitamine B12 pourrait nuire à ses fonctions cognitives.
  • Calcium : vos besoins augmentent de 30% durant la grossesse afin de contribuer à la formation des os et des dents du fœtus.
  • Iode : elle intervient dans la fabrication des hormones thyroïdiennes nécessaires à la contraction musculaire, aux battements cardiaques, à la formation des os, à l’absorption des nutriments, mais aussi à la croissance du cerveau du fœtus.
  • Choline : elle favorise le bon fonctionnement du placenta et le développement du cerveau du futur bébé.
  • Oméga-3 : ils sont utiles à la fois pour votre santé et celle du fœtus, car ils permettent de garder le moral et le développement des yeux et du cerveau du fœtus.

 

Grossesse : spiruline enceinte

 

Mais la grossesse n’est pas seulement un chamboulement pour la future maman. En effet, les futurs papas, souvent sur le banc de touche, peuvent également subir quelques répercussions.

Les (futurs) papas aussi peuvent être en surmenage à la venue d’un nouveau bébé

Lors de la grossesse, les futurs papas peuvent se sentir anxieux, surmenés ou être touchés par la dépression.

Il est tout à fait naturel que les futurs pères se sentent dépassés par la situation. Ils ont souvent peur de ne pas être à la hauteur. De plus, ils peuvent être inquiets quant au déroulement de la grossesse (risque de complications ou de fausse-couche) et de l’accouchement, mais aussi concernant la nouvelle organisation à mettre en place.

Contrairement aux femmes, les pères ont moins tendance à partager leurs ressentis avec leurs proches, ce qui peut contribuer à aggraver la situation.

Si la plupart du temps, les futurs papas ne connaissent que des symptômes psychiques, certains hommes sont victimes du syndrome de couvade, appelé aussi “grossesse nerveuse”, “grossesse sympathique” ou “grossesse compatissante”. Dans ce cas, ils subissent des troubles psychosomatiques, c’est-à-dire que les symptômes anxieux se manifestent par des symptômes physiques : fatigue, prise de poids, changement d’appétit, envies alimentaires, nausées, vomissements, diarrhées, brûlures d’estomac…

 

La spiruline : une algue miracle pour complémenter les besoins des femmes enceintes

 

Grossesse : spiruline enceinte

 

En matière de composition nutritionnelle, la spiruline a tout d’une grande qui n’a plus rien à prouver.

Ce superaliment permet d’éviter les risques de carences alimentaires, notamment celles auxquelles les femmes enceintes sont souvent sujettes. Ainsi, cette algue miracle constitue une alliée de poids pour complémenter les besoins nutritionnels pendant la grossesse.

Retrouvez ici la composition complète de la spiruline.

La spiruline est extrêmement riche en fer et aide à éviter les carences

La spiruline a une teneur en fer exceptionnelle, bien plus que les épinards et la viande rouge.

De plus, contrairement aux autres sources de fer d’origine végétale, le fer contenu dans la spiruline est particulièrement biodisponible. Il est jusqu’à 6,5 fois plus assimilable par l’organisme que le fer issu de la viande rouge. C’est pourquoi la spiruline permet de lutter efficacement contre les carences en fer.

De plus, le fer de la spiruline n’entraîne pas les mêmes effets secondaires que les sources de fer synthétiques.

Si vous êtes enceinte ou vous allaitez, la spiruline représente une solution intéressante pour garantir les apports nécessaires en fer. Ainsi, vous limiterez les risques d’anémie ferriprive et de fatigue. En outre, un manque de fer peut être préjudiciable pour le futur bébé : développement du fœtus, croissance, risque d’accouchement prématuré…

Avec seulement 5 g de spiruline (une cuillère à café de brindilles), vous pouvez couvrir près de 20 % de vos besoins quotidiens en fer. D’ailleurs, il est de plus en plus fréquent que les médecins et sage-femmes prescrivent de la spiruline pour une complémentation en fer et en autres nutriments pendant la grossesse. Néanmoins, tous n’ont pas ce réflexe et certains se tournent encore vers les produits de synthèse plutôt que vers les compléments alimentaires naturels.

Pour une meilleure assimilation du fer par votre organisme, nous vous conseillons de coupler votre cure de spiruline à de la vitamine C.

La spiruline possède de nombreuses protéines pour nourrir la maman et le futur bébé

La spiruline se compose de 60 à 70% de protéines, des 8 acides aminés essentiels et d’autres acides aminés non-essentiels. Hautement biodisponibles, les protéines contenues dans la spiruline, même séchées, sont digestibles jusqu’à 90% contre 50% pour les protéines d’origine animale.

Consommer quotidiennement de la spiruline permet ainsi d’apporter les protéines et les acides aminés nécessaires tout au long de la grossesse. D’origine végétale, ces protéines conviennent à toutes les femmes, quelque soit leur régime alimentaire.

Les protéines et les acides aminés contribuent à nourrir la femme enceinte et le futur bébé. Ils participent à la construction des tissus et au bon développement du fœtus.

Le rôle des acides aminés durant la grossesse est également important, car ils permettent de :

  • Former des hormones et des enzymes,
  • Produire des cellules,
  • Réparer tous les tissus,
  • Former des anticorps,
  • Favoriser la croissance et le bon équilibre acido-basique,
  • Et de réguler la sensation de faim et l’humeur,

Bien que la spiruline soit une source exceptionnelle de protéines et d’acides aminés, il convient de varier son alimentation et de combler ses besoins grâce à certains aliments.

La spiruline est riche en vitamines et minéraux dont manquent souvent les femmes enceintes

En plus du fer, des protéines et des acides aminés, la spiruline apporte des vitamines, des minéraux, des oligoéléments et des acides gras essentiels.

Vitamine A

Prendre de la spiruline, durant la grossesse, permet notamment de remédier au manque de vitamine A ou du moins d’en éviter les carences.

Si la spiruline est une bonne source de vitamine B9, elle présente également l’avantage de la rendre très assimilable, car ses cellules ne possèdent pas de paroi cellulosique. Ainsi, vous digérez et assimilez rapidement et dans son ensemble la vitamine B9 contenue dans la spiruline.

Tandis que l’organisme est extrêmement gourmand en vitamine B9 pendant la grossesse et l’allaitement, il est essentiel d’éviter les carences, car elle contribue à maintenir le bon fonctionnement du système immunitaire. De plus, une déficience en vitamine B9 peut s’avérer préjudiciable pour le système nerveux du fœtus, sans compter qu’elle puisse entraîner un retard de croissance, des malformations et un risque de prématurité.

Durant l’allaitement, la vitamine A enrichit le lait maternel.

Vitamine B12

Outre de la vitamine B9, la spiruline contient de la vitamine B12. Néanmoins, cette vitamine est instable et peu assimilable. La spiruline est très intéressante chez les personnes végans qui sont privées, de par leur alimentation, de vitamine B12.

Dans le cadre de la grossesse, nous vous conseillons de ne pas miser vos apports en vitamine B12 seulement sur la spiruline, mais de varier votre alimentation et de consommer des aliments d’origine animale comme les œufs, la viande et les produits laitiers qui y sont riches.

La vitamine B12 est essentielle pour les futures mamans et le fœtus. En effet, une carence en vitamine B12 peut provoquer des troubles neurologiques importants chez le futur bébé.

Minéraux, oligoéléments et acides gras

Grâce à sa composition nutritionnelle particulière, la spiruline vous apporte aussi du magnésium, du phosphore, du potassium, du zinc, du calcium essentiels pour la bonne santé de la femme enceinte, les défenses immunitaires et le développement du fœtus.

Lors de l’allaitement, le calcium permet d’enrichir le lait maternel et contribue ainsi à la formation et au renforcement du squelette.

La microalgue d’eau douce contient également des acides gras essentiels (oméga-3), indispensables à la formation des yeux et du cerveau du futur bébé.

Enfin, elle se compose aussi de choline et de vitamine D, mais ne possède aucune trace d’iode et de vitamine C.

 

La spiruline présente-t-elle des dangers particuliers pour les femmes enceintes ?

 

Grossesse : spiruline enceinte

 

La spiruline n’est pas dangereuse ni pour la femme enceinte, ni pour le bébé

Si certains médecins et spécialistes occidentaux sont encore frileux face aux compléments alimentaires naturels tels que la spiruline, en Inde et au Vietnam, il est courant de prescrire de la spiruline aux femmes enceintes, allaitantes ou à leur nourrisson.

Au jour d’aujourd’hui, aucune étude ne permet d’envisager des conséquences négatives de la micro-algue pour les femmes, pendant la grossesse ou l’allaitement.

Au contraire, une étude scientifique menée sur une souris enceinte démontre que la spiruline n’est ni toxique pour la souris, ni pour son fœtus. Sa consommation n’a aucun impact négatif sur le déroulement de la grossesse ou de l’accouchement.

De par sa composition, la spiruline semble se positionner comme une véritable alliée pour soutenir le bien-être et la santé des femmes durant la grossesse et l’allaitement.

Néanmoins, nous vous conseillons de consulter l’avis de votre médecin, de consommer de la spiruline de qualité et de respecter la posologie pour éviter les potentiels risques d’effets secondaires. Privilégiez les spirulines françaises, plus contrôlées et riches en nutriments.

Il n’y a pas de risque à allaiter lorsque vous consommez de la spiruline

Après l’accouchement, on peut s’orienter vers l’allaitement, ce qui est d’ailleurs préconisé par l’OMS. Cependant, il convient de ne pas se culpabiliser si l’on ne veut pas ou n’y parvient pas, notamment à cause de la fatigue.

En effet, l’allaitement peut s’avérer plus fatigant. Dans ce cas, la spiruline représente un excellent anti-fatigue et soutien nutritionnel pour apporter les nutriments nécessaires à votre nouveau-né.

En plus d’améliorer la qualité globale du lait maternel, la micro-algue d’eau douce a une fonction galactogène et favorise la production et la montée de lait. Ainsi, si vous projetez d’allaiter après l’accouchement, on vous conseille de consommer de la spiruline dès le 6ème mois de grossesse.

 

Quelles sont les doses de spiruline recommandées pour les femmes enceintes ou allaitantes ?

Avant de parler des doses, il convient d’adopter la forme de spiruline qui vous convient le mieux. Nous vous conseillons la spiruline paillettes qui subit moins de traitement et conserve un maximum de ses bienfaits et nutriments.

Dans le cadre d’une cure de spiruline pour les femmes enceintes ou allaitantes, le dosage quotidien idéal se situe entre 3 et 5 g selon les besoins. En cas de carence importante en fer, le médecin peut vous prescrire une dose journalière supérieure.

Cependant, ne commencez pas votre cure avec le dosage final, vous devez l’atteindre progressivement en commençant par de faibles doses (0,5 g, puis, 1 g …) pour que votre métabolisme s’habitue. En effet, la prise de spiruline en quantité élevée trop rapidement peut provoquer des effets indésirables tels que des crampes, des nausées ou des ballonnements.

Aussi, on vous conseille de consommer la spiruline le matin pour profiter de ses vertus tout au long de la journée.

Consommée dans les quantités recommandées, la spiruline ne présente aucun risque pour la grossesse ou l’allaitement et peut, au contraire, s’avérer d’une grande aide.

 

Quid des extraits de phycocyanine ? Peuvent-ils être utilisés durant la grossesse ?

 

Phycocyanine

 

Aucune étude n’a réussi à prouver le danger de la phycocyanine pour les femmes enceintes

La phycocyanine est l’un des concentrés actifs de la spiruline.

Tout comme pour la spiruline, aucune étude ne prouve que la phycocyanine puisse être dangeureuse pour les femmes enceintes.

Loin de là, la phyco qui augmente l’endurance est très intéressante en fin de grossesse pour mieux préparer l’accouchement.

Les extraits de phycocyanine sont parfaits pour le papa en surmenage à la venue d’un nouveau membre de la famille

Le futur papa peut également apprécier les vertus de cet anti-fatigue naturel. En plus d’apporter tonus et vitalité, la phycocyanine améliore les capacités cognitives et soulage les effets du stress et du surmenage.

En effet, en stimulant la sécrétion de la mélatonine, la phycocyanine favorise l’endormissement et le sommeil réparateur. Elle aide également à réguler la production de l’hormone du stress, le cortisol.

Couplez la phycocyanine avec du cuivre pour lutter efficacement contre le stress et la fatigue au réveil et dans la journée. Découvrez ici notre combo Cuivre et Spiruline Bleue.

 

Conclusion

En somme, il n’y a aucune contre-indication à la consommation de spiruline et/ou de phycocyanine durant la grossesse et l’allaitement.

Au contraire, la micro-algue et son principe actif possèdent plusieurs propriétés intéressantes pour la femme enceinte et allaitante, le fœtus et le futur papa.

Riche en fer, en vitamines B, en calcium, en protéines, en acides aminés et en acides gras, la spiruline apporte un soutien nutritionnel hors du commun. Consommer de la spiruline permet notamment de vous sentir moins fatiguée et plus en forme.

Klamath (AFA) ou spiruline : similarités et différences ? Nos astuces pour choisir.

Spiruline et klamath, laquelle choisir ?

Micro-algues d’eau douce et cyanobactéries, la klamath et la spiruline présentent des similitudes quant à leur apport nutritionnel et leurs bienfaits.

Néanmoins, ces deux superaliments ne doivent pas être confondus, car ils possèdent chacun des composants spécifiques qui font varier leurs indications d’usage.

Dans cet article, on aborde aussi bien les similarités que les différences de ces deux algues lacustres pour vous aider à choisir laquelle vous convient le mieux selon vos besoins.

 

Qu’est-ce que la klamath ou AFA ?

Le nom de la klamath provient, en fait, du lac Klamath en Oregon (États-Unis) duquel elle est issue. Son nom scientifique est Aphanizomenon Flos Aquae, soit AFA.

Cette algue est une cyanobactérie, d’où sa couleur bleu-vert.

Connue depuis plusieurs millénaires, 6000-5000 ans avant J.C., elle est utilisée en médecine chinoise pour ses bienfaits, puis en Mésopotamie, en Egypte et en Grèce.

On la trouve commercialisée depuis quelques décennies sous forme de compléments alimentaires.

La réputation de la klamath résulte de sa richesse nutritionnelle. En effet, ce superaliment est l’un des plus complets de la planète avec un total de 115 micro-nutriments différents : protéines, vitamines, minéraux, acides gras oméga-3 et pigments antioxydants (phycocyanine, chlorophylle).

 

Qu’est-ce que la spiruline ?

La spiruline est également une micro-algue d’eau douce et une cyanobactérie, connue sous le nom scientifique de Spirulina Platensis.

Consommée depuis plus de 2 millénaires par les Aztèques du Mexique, on l’apprécie aujourd’hui principalement pour ses apports nutritionnels.

 

Spiruline et klamath, laquelle choisir ?

 

Effectivement, ce superaliment possède une composition nutritionnelle exceptionnelle.

Tout comme la klamath, elle se décline sous différentes formes de compléments alimentaires : en gélules, en poudre ou en paillettes.

Nous vous conseillons la spiruline paillettes, car elle correspond à la forme de spiruline la moins traitée et modifiée et conserve ainsi un maximum de ses bienfaits.

 

Quelles sont les similarités entre la klamath et la spiruline ?

La spiruline et la klamath sont toutes les deux des algues très riches en nutriments

La spiruline et la klamath sont toutes les deux des micro-algues d’eau douce, des cyanobactéries exactement.

Ces superaliments sont très riches en protéines et en micronutriments : vitamines, minéraux, acides aminés, acides gras essentiels, pigments antioxydants…

Ils se composent majoritairement de protéines : 70% pour la klamath et entre 60 et 70% pour la spiruline, mais aussi d’acides aminés à des proportions légèrement différentes.

Concernant les micronutriments communs aux deux algues, on trouve :

  • les vitamines A, B, E et K,
  • des oligo-éléments comme le calcium, le magnésium, le fer et le cuivre,
  • ou encore des antioxydants tels que la phycocyanine, la chlorophylle, la lutéine, l’astaxanthine ou l’enzyme superoxyde dismutase (SOD).

La klamath comme la spiruline possèdent de la phycocyanine

 

Spiruline et klamath, laquelle choisir ?

 

Les deux micro-algues renferment des pigments antioxydants, notamment de la phycocyanine et de la chlorophylle. C’est pourquoi elles revêtent toutes les deux une couleur bleu-vert.

Ces pigments anti-oxydants ne contribuent pas seulement à leur donner une belle coloration, mais ils sont aussi source de bienfaits : renforcement des défenses immunitaires, du système nerveux et des cellules, actions anti-vieillissement, anti-infectieuse et anti-inflammatoire.

Si la spiruline contient davantage de phycocyanine que la klamath, cette dernière possède plus de chlorophylle.

À ce propos, la phycocyanine représente jusqu’à 20% de la masse sèche de la spiruline contre 5% de la masse sèche de la klamath, soit environ 200mg/g pour la première contre 50mg/g pour la seconde.

Des bienfaits communs

Grâce à une composition nutritionnelle quasiment similaire, la klamath et la spiruline possèdent des propriétés communes :

  • Apport nutritif : les deux algues peuvent être consommées pour combler des carences en protéines, notamment chez les sportifs, les personnes âgées ou fragiles ou encore les végétariens et végans.
  • Action antioxydante : leur richesse en antioxydants permet de combattre le stress oxydatif et les radicaux libres pour protéger l’ADN, les cellules et la peau du vieillissement et des inflammations.
  • Boost immunitaire : si les deux algues agissent différemment sur vos défenses immunitaires, elles sont toutes deux vos alliées pour renforcer votre immunité.
  • Baisse de la glycémie : consommer de la spiruline et/ou de la klamath permet de faire baisser son taux de sucre dans le sang.
  • Santé du cerveau et du cœur : les antioxydants et acides gras (oméga-3) que contiennent ces cyanobactéries contribuent à améliorer la santé de votre cœur et de votre cerveau.
  • Perte de poids : composées de protéines et de fibres, la spiruline et la klamath aident à perdre du poids.
  • Soutien digestif : riches en fibres et en enzymes, ces deux algues favorisent une digestion saine.
  • Effet détox : elles permettent toutes deux d’éliminer les toxines et les métaux lourds.

Néanmoins, chacune possède des composants spécifiques ou des teneurs variables en micro-nutriments. C’est pourquoi il convient parfois d’utiliser plutôt la spiruline que la klamath et vice-versa.

 

Quelles sont les principales différences entre la klamath et la spiruline ?

La spiruline a des effets plus corporels, la klamath des effets plus mentaux

Si la spiruline et la klamath présentent une composition nutritionnelle proche et des bienfaits communs, les deux algues possèdent également des caractéristiques qui leur sont propres.

C’est pourquoi il est conseillé d’utiliser plutôt l’une ou l’autre selon la situation.

La haute teneur et la digestibilité des protéines et du fer contenus dans la spiruline font de cette algue un allié nutritionnel de taille, notamment pour les sportifs, les végétariens, les végans, les personnes fatiguées, anémiées ou ayant une alimentation déséquilibrée.

La spiruline est un puissant anti-fatigue qui agit sur votre tonus et votre vitalité.

En revanche, les effets de la klamath sont davantage mentaux que corporels. En effet, la micro-algue contribue à stimuler les performances intellectuelles, les capacités mentales, la concentration, l’attention, la vigilance et la mémoire.

Son action est également reconnue contre le stress, l’anxiété, la fatigue nerveuse, les états dépressifs et les troubles du comportement.

À ce titre, on recommande davantage la klamath lors des préparations d’examens, en période de stress, de dépression ou de fatigue nerveuse.

La klamath n’est cultivée que dans un endroit du monde, la spiruline dans de nombreux endroits

Contrairement à la spiruline qui se trouve naturellement dans de nombreuses régions chaudes et humides du monde (Tchad, Mexique, Chili, Cuba, Maroc, Kenya, Inde ou Chine), on ne trouve la klamath que dans le lac Klamath en Oregon aux Etats-Unis et nulle part ailleurs.

De plus, si la klamath ne se récolte qu’à l’état sauvagela spiruline peut soit être récoltée naturellement, soit être produite en bassins de culture.

 

Lac Klamath, Oregon, Etats-Unis

 

Un peu d’Histoire :

Découvert en 1826 par l’explorateur et trappeur canadien, Peter Skeen Ogden, le lac Klamath ne sera exploité que dans les années 1980 suite aux recherches des Kollman sur les bienfaits de la klamath sur la concentration et l’apprentissage. Aujourd’hui, 5 compagnies ont le monopole de l’exploitation de la klamath. On parle, ici, de productions industrielles et non artisanales à cause des méthodes d’extraction et de traitement utilisées.

La klamath présente des problèmes de toxicité que la spiruline n’a que très rarement

Un rapport de l’ANSES (Agence National de Sécurité Sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail) de novembre 2017 souligne que la klamath présente un risque plus élevé de toxicité aux cyanotoxines que la spiruline.

Si la klamath n’est, en elle-même, pas toxique, elle n’est malheureusement pas toujours cultivée dans un milieu contrôlé. En effet, lorsque la klamath est en contact avec des substances toxiques, polluantes ou d’algues nocives, elle produit des toxines, comme par exemple la microcystine. Cette dernière est dangereuse pour la santé, car elle peut s’attaquer au foie ou être cancérigène.

Une étude de 2012 révèle le risque de contamination à la microcystine de la klamath, tandis qu’une autre étude de la même année stipule qu’au-delà de 4g/jour, la klamath n’est pas exempte de risque pour la santé.

À fortes doses, la klamath peut provoquer des nausées et des crampes à l’estomac.

De plus, riche en iode, elle doit être consommée avec précaution par les personnes présentant une insuffisance rénale, une maladie cardiaque ou un dérèglement thyroïdien.

La klamath est beaucoup plus chère que la spiruline

Compte tenu d’une production extrêmement localisée, exclusivement à l’état sauvage et en été, le prix de la klamath est entre 2 à 5 fois plus élevé que celui de la spiruline. Selon la marque, comptez entre 27 et 80 euros les 100 g.

Si la spiruline provient naturellement de quelques régions du monde, on peut aussi la cultiver industriellement ou artisanalement. Aujourd’hui, les plus gros producteurs de spiruline se trouvent aux Etats-Unis et en Chine. Nous vous conseillons, néanmoins, de privilégier une spiruline cultivée en France, car nos productions locales sont souvent plus artisanales et contrôlées.

Au contraire, la klamath ne peut être produite qu’à l’état sauvage dans le lac Klamath en Oregon, ce qui limite la production et la concurrence.

Autre limite à la production de la klamath, l’algue ne se reproduit qu’en été, contrairement à la spiruline qui peut se récolter toute l’année. Cependant, le cycle de reproduction de la klamath est bien plus rapide et moins contraignant que celui de la spiruline. Là où la klamath ne prend que 4 jours pour se reproduire naturellement, la culture de spiruline nécessite du temps, de l’attention et de l’entretien.

 

Dans quelles situations préférer la spiruline à la klamath ?

Vous avez un budget limité : vous bénéficierez presque des mêmes bénéfices que la klamath à prix discount avec la spiruline

Selon vos besoins et vos attentes, vous pourriez obtenir des bénéfices similaires avec la spiruline.

On pense notamment aux vertus de la spiruline sur le plan physique où pour un budget moindre, vous pourriez accéder à des propriétés similaires, voire supérieures.

Source quasiment équivalente en protéines que la klamath, la spiruline convient parfaitement aux sportifs qui souhaitent prendre soin de leurs muscles : développement, réparation, récupération.

Sur le plan nutritionnel, la spiruline n’a rien à envier non plus à la klamath. Ainsi, pour un rééquilibrage alimentaire à moindre prix, misez plutôt sur la spiruline que la klamath. Si vous souffrez de carences alimentaires, analysez plus en détail la composition de la spiruline et de la klamath pour voir quelle algue vous sera la plus bénéfique.

Plus riche en fer, mieux assimilable par l’organisme, la spiruline convient particulièrement aux personnes souffrant d’anémie ferriprive. Combattez également stress et fatigue grâce à sa teneur en magnésium.

Tandis que la rareté semble justifier le prix supérieur de la klamath, prêtez attention à sa qualité. Un petit conseil, si vous avez un budget limité, mieux vaut miser sur une spiruline de qualité que sur de la klamath “bon marché”. En effet, dans ce cas, la différence de prix n’en vaudra clairement pas la chandelle.

Vous souhaitez avant tout bénéficier du coup de boost et des vertus antioxydantes de la phycocyanine

Plus riche en phycocyanine que la klamath, la spiruline est une véritable alliée pour renforcer vos défenses immunitaires, changer de saison, recharger les batteries ou vous accompagner dans votre pratique sportive.

La spiruline bénéficie des propriétés antioxydantes de la phycocyanine, mais aussi d’autres micro-nutriments (bêta-carotène, chlorophylle, SOD, vitamine E), ce qui vous permet de mieux lutter contre les radicaux libres et donc contre le vieillissement cutané et cellulaire.

Grâce à ses propriétés antioxydantes, anti-inflammatoires et fortifiantes, la spiruline vous donne un coup de boost et vous protège des agressions extérieures. Votre organisme est plus équilibré et régulé.

 

Dans quelles situations privilégier la klamath à la spiruline ?

Vous souhaitez booster votre concentration et votre clarté mentale avant tout

50% des Français se plaignent de problèmes de mémoire et de concentration. Ces derniers ne touchent pas seulement les personnes âgées, mais toutes les générations.

Chez les enfants, comme chez les adultes, il est fréquent d’être confronté à une baisse de ses capacités cognitives et d’apprentissage ou à des trous de mémoire, notamment lors de périodes de fatigue, de surmenage ou de stress.

C’est dans cette situation qu’une cure de klamath est particulièrement recommandée.

 

Spiruline et klamath, laquelle choisir ?

 

En effet, la micro-algue contient de la phényléthylamine (PEA), de la phycocyanine et des polysaccharides spécifiques qui agissent sur le bien-être, la concentration et la clarté mentale.

Naturellement présente dans le cerveau humain, la phényléthylamine (PEA) est, à la fois, une hormone et un neuro-transmetteur qui permet d’activer la transmission dopaminergique. De par son action sur la dopamine, mais aussi sur l’adrénaline et la noradrénaline, la klamath accroît la concentration, l’attention et la vigilance. La dopamine est primordiale pour les activités cérébrales, elle est source de motivation et d’énergie physique et mentale.

De plus, la klamath est riche en vitamines B, ce qui procure également à votre organisme et à votre mental l’énergie nécessaire.

En somme, grâce à son cocktail de micro-nutriments, la consommation régulière de klamath garantit le bon fonctionnement des processus cognitifs :

  • Performances intellectuelles,
  • Clarté et résistance mentales,
  • Vigilance,
  • Attention,
  • Concentration,
  • Mémoire,
  • Créativité.

Avis à tous les étudiants, en période d’examens ou non, la klamath est une alliée de choix !

Vous souhaitez profiter de certaines des vertus anti-dépression de la klamath

Son action neuro-protectrice ne s’arrête pas là.

Elle se démarque aussi de la spiruline et de la chlorella par ses vertus anti-anxiété et dépression.

Là encore, l’action de la PEA sur la dopamine, hormone du plaisir, de la récompense et de l’action, est primordiale pour vous protéger de la fatigue nerveuse. 60% des personnes déprimées manqueraient de PEA. Au contraire, lorsque nous sommes dans des états positifs, notre cerveau produit naturellement plus de PEA.

La teneur en vitamine B12 de la klamath contribue également à améliorer l’humeur, en plus de lutter contre les pertes de mémoire.

De plus, la phycocyanine qu’elle contient contribue à activer la PEA, tout en inhibant les MAO (Mono Amine-Oxydases), responsables de la dégradation de certains neurotransmetteurs comme la phényléthylamine.

C’est pourquoi une cure de klamath est intéressante pour réduire l’anxiété et l’état dépressif, réguler les humeurs, voire même redonner le sourire !

Véritable antidépresseur naturel, la klamath est recommandée contre le stress physique et émotionnel, l’anxiété, la fatigue nerveuse, les états dépressifs ou encore les troubles du comportement.

 

La phycocyanine pure : une bonne alternative à la klamath et à la spiruline pour ceux qui cherchent le coup de fouet physique et mental

 

Phycocyanine, extrait de la spiruline

 

La phycocyanine regorge de bienfaits, tant sur le plan physique que sur le plan mental.

Puissant antioxydant, la phyco protège vos cellules et votre peau contre l’accumulation de radicaux libres. Certaines études estiment d’ailleurs que l’action antioxydante de la phycocyanine est 20 fois plus performante que celle de la vitamine E.

Cette EPO naturelle booste vos performances physiques, vos capacités de récupération et d’endurance… Vous vous sentez plus vigoureux. La phycocyanine possède également des propriétés anti-inflammatoires.

Grâce à son action positive sur le nombre d’immunoglobuline A (IgA), elle contribue aussi à renforcer le système immunitaire et à mieux résister au stress. Ainsi, vous vous sentez revigoré et moins fatigué.

Consommer la phycocyanine sous forme de cure quotidienne permet d’entretenir son bien-être physique et mental.

Pour cela, nous proposons 3 phycocyanines différentes, plus ou moins concentrée :

  • la Spiruline Bleue pour une cure de fond immunité et tonus,
  • la Spiruline Bleue + pour une énergie nouvelle, une meilleure endurance et mieux récupérer,
  • l’Ultra Bleue + pour repousser les limites des plus sportifs et gagner en performances.

Enfin, nous vous avons concocté des combos pour des effets encore plus efficaces et ciblés.

Ainsi, pour un coup de fouet physique, optez pour notre Vitamine C alliée à la phycocyanine et pour un coup de fouet mental, optez pour notre pack concentration combinant Oméga 3 et Spiruline Bleue liquide.

 

Est-il possible d’associer la spiruline, la klamath et / ou la phycocyanine ?

Selon les effets recherchés, il est également possible d’associer la spiruline à la klamath, ou l’une des deux algues à la phycocyanine.

En effet, en respectant les doses conseillées, vous pouvez les consommer ensemble pour profiter de leurs bienfaits combinés.

Par exemple, l’association de la spiruline et de la klamath renforce davantage vos défenses immunitaires et multiplie les effets anti-inflammatoires. Il en va de même si vous combinez la spiruline à la phycocyanine ou la klamath à la phycocyanine.

 

Conclusion

Si l’écart de prix entre la spiruline et la klamath est important, il n’est pas toujours justifié.

Vous souhaitez faire un rééquilibrage alimentairerenforcer vos capacités physiques, vos défenses immunitaires et/ou votre vitalité ? Une cure de spiruline est tout à fait appropriée.

Pour des bienfaits supplémentaires, n’hésitez pas à combiner la spiruline paillettes à de la phycocyanine.

Pour stimuler vos capacités intellectuelles et cognitives, la klamath est une option intéressante, mais vous pouvez également opter pour notre Pack Concentration associant les Oméga 3 à la phycocyanine.

Enfin, lors des périodes difficiles de fatigue mentale et nerveuse, vous pouvez vous orienter vers la klamath qui possède des vertus anti-anxiété et dépression.