Collagène marin : ses bienfaits sur les intestins

Bienfaits du collagène marin sur les intestins

Les intestins jouent un rôle inestimable dans votre bien-être général, étant impliqués dans la digestion, l’absorption des nutriments et l’immunité. C’est pourquoi il est essentiel de maintenir une flore intestinale saine.

À ce titre, le collagène s’avère être un précieux allié, car il contribue à la santé de la muqueuse intestinale, favorise une bonne digestion et améliore le confort digestif.

Découvrez, dans cet article, ce qu’est le collagène marin, ses bienfaits pour les intestins et comment l’intégrer à votre routine quotidienne.

 

Qu’est-ce que le collagène marin ?

Définition et origine du collagène marin

Le collagène marin est une protéine structurelleque l’on extrait de la peau, des écailles, des arêtes et des nageoires de poissons.

Riche en acides aminés essentiels, il se constitue principalement de collagène de type I, collagène le plus abondant du corps humain. De ce fait, il est particulièrement assimilable par notre organisme, phénomène renforcé par sa petite taille moléculaire proche de celle du collagène endogène.

Pour rappel, le collagène est la principale protéine du corps humain et représente jusqu’à 30 % de ses protéines totales. Composant majeur des tissus conjonctifs, il est essentiel pour la peau, les articulations, les tendons, les ligaments, les muscles, les os et les cartilages. Il participe à leur cohésion, leur résistance et leur régénération. Il présente aussi des avantages certains pour la santé intestinale.

Dans notre corps, comme dans la nature, on trouve 3 principaux types de collagène :

  • le collagène de type I, essentiel pour la peau, les tendons et les os,
  • le collagène de type II, se trouvant principalement dans les cartilages,
  • et le collagène de type III, indispensable à la santé des muscles et des vaisseaux sanguins.

Différence entre le collagène marin et les autres types de collagène

Le collagène marin n’est pas le seul type de collagène vendu comme complément alimentaire. On trouve également du collagène animal : bovin, porcin ou de poulet.

Le collagène bovin est issu de la peau et des os des bovins. On l’utilise principalement en médecine esthétique pour les injections dans les lèvres ou contre les rides, ainsi qu’en supplémentation sportive. D’après plusieurs études, le collagène bovin serait jusqu’à 1,5 fois moins assimilable que le collagène marin par le corps humain.

Le collagène porcin, issu principalement des os et de la peau de porc, a une composition semblable au collagène humain, mais est, malgré tout, moins biodisponible par l’organisme que le collagène marin. Par ailleurs, le collagène porcin n’est pas compatible avec toutes les religions, tout comme le collagène bovin.

Enfin, le collagène de poulet est majoritairement extrait du sternum de poulet. Il s’agit essentiellement de collagène de type II, utile à la santé des articulations.

En somme, comparativement aux autres types de collagène, le collagène marin convient à tous et possède la meilleure biodisponibilité grâce à sa structure moléculaire particulière. Il est à la fois conseillé pour ses bienfaits pour la peau, les articulations et les intestins.

 

Les bienfaits du collagène marin sur la santé intestinale

Plusieurs études scientifiques, menées sur des animaux et des humains, prouvent le rôle significatif du collagène marin dans la santé intestinale.

Voici les principaux bienfaits du collagène marin pour les intestins :

  • soutien structurel de la paroi intestinale et réduction des problèmes de perméabilité des intestins,
  • soulagement de l’inconfort digestif,
  • effet anti-inflammatoire,
  • action antioxydante grâce au soutien à la production de glutathions,
  • activation des cellules immunitaires dans le tissu lymphoïde intestinal.

Cette action bénéfique pour le système intestinal découle notamment de sa richesse en acides aminés.

 

Bienfaits du collagène marin sur les intestins

 

Protégez votre barrière intestinale grâce au collagène marin

Les conditions de la muqueuse intestinale influent sur la digestion et la santé en général. Avoir une paroi intestinale en bonne santé favorise l’absorption des nutriments et empêche le passage de substances nocives dans la circulation sanguine.

Cependant, certains facteurs perturbent l’écosystème intestinal, tels que le stress, l’alcool, le tabagisme ou une alimentation déséquilibrée.

Le collagène marin contribue à restaurer la barrière intestinale de différentes manières :

  • Renforcement et soutien structurel de la paroi intestinale : le collagène marin joue le rôle de barrière protectrice contre les bactéries, les toxines et autres substances indésirables, en renforçant l’intégrité de la muqueuse intestinale.
  • Réparation de l’épithélium intestinal : riche en glutamine, en glycine, en proline, en hydroxyproline et en arginine, le collagène marin favorise la croissance cellulaire et la formation des tissus conjonctifs, ainsi que la réparation et la cicatrisation de la paroi intestinale.
  • Réduction de la perméabilité des intestins : en réduisant la perméabilité des intestins, le collagène marin contribue à améliorer la digestion et à prévenir les fuites intestinales. Il participe à la guérison des dommages liés au syndrome du côlon irritable (SCI) et du syndrome de l’intestin perméable (SIP).

Pour aller plus loin, cette étude scientifique de 2017 montre que le collagène marin aide à atténuer les dysfonctionnements de la barrière intestinale.

Réduisez les inflammations intestinales grâce au collagène marin

Composé de proline et de glycine, le collagène marin possède un effet anti-inflammatoire. En effet, ces acides aminés modulent la production de cytokines et réduisent ainsi les inflammations intestinales.

 

Bienfaits du collagène marin sur les inflammations intestinales

 

C’est pourquoi le collagène marin est particulièrement bénéfique pour soigner les troubles de la maladie de Crohn ou du syndrome de l’intestin irritable.

Luttez contre les troubles digestifs et améliorez votre digestion grâce au collagène marin

Favorisant la régénération des cellules et le renforcement de la muqueuse intestinale, le collagène marin aide à prévenir et à traiter les symptômes de plusieurs troubles intestinaux, tels que la colite, le SIP (syndrome de l’intestin perméable), le SII (syndrome de l’intestin irritable). Ces problèmes intestinaux engendrent un inconfort digestif avec de la constipation, des ballonnements, des gaz, des sensibilités alimentaires, ou des indigestions.

Des entretiens avec des praticiens américains révèlent l’action positive des peptides de collagène contre les symptômes digestifs lors d’un dosage de 20 g pour une cure d’au moins 6 à 8 semaines.

De manière générale, le collagène marin facilite la digestion en améliorant l’absorption des nutriments et leur utilisation par l’organisme. Effectivement, il aide à déplacer les aliments dans le tractus gastro-intestinal et favorise la sécrétion de sucs gastriques qui permettent la décomposition des protéines et des glucides.

 

Bienfaits du collagène marin sur les troubles digestifs

 

Préservez votre microbiome intestinal grâce au collagène marin

D’après de récentes études, le collagène marin agit tel un prébiotique. Il participe au développement de “bonnes bactéries intestinales”, telles que le Lactobacillus acidophilus ou le Bifidobacterium bifidum.

De cette manière, il garantit l’équilibre de la flore intestinale.

 

Bienfaits du collagène marin sur le microbiote intestinale

 

En soutenant la production de glutathions, un puissant antioxydant, le collagène marin permet aussi de lutter contre les métaux lourds et de nettoyer le système intestinal.

 

Qui a intérêt à consommer du collagène marin pour ses intestins ?

Le collagène marin est recommandé à tous ceux rencontrant des problèmes intestinaux, qu’ils soient liés à une pathologie (intestin perméable, côlon irritable, maladie de Crohn), au stress, à des carences…

Les personnes ayant l’intestin perméable ou la maladie de Crohn

Le syndrome de l’intestin perméable survient généralement quand la muqueuse intestinale est endommagée et qu’elle n’agit plus efficacement comme barrière protectrice.

Grâce à son action réparatrice et de soutien sur la paroi intestinale, le collagène marin est particulièrement bénéfique pour les personnes souffrant d’intestin perméable ou d’autres maladies inflammatoires de l’intestin, comme la maladie de Crohn ou la maladie coeliaque.

Une cure de peptides de collagène peut vous aider à avoir des intestins plus sains et à réduire les fuites intestinales de particules alimentaires ou de déchets dans la circulation sanguine.

Elle permet aussi de soulager significativement les symptômes associés à ces troubles, tels que les gaz ou les ballonnements, notamment en favorisant :

  • la décomposition des macro-nutriments et l’absorption des micro-nutriments,
  • la réparation des cellules intestinales et des jonctions serrées endommagées,
  • l’apaisement et la cicatrisation de la muqueuse intestinale,
  • la réduction de l’inflammation.

Ceux qui ont des troubles digestifs liés au stress

En cas de stress, la muqueuse intestinale peut se fragiliser ou s’affaiblir.

Là encore, le collagène marin s’avère bien utile en renforçant la barrière intestinale. Sa richesse en glutamine contribue à améliorer le microbiote intestinal et à lutter contre les dommages liés au stress.

Les personnes âgées qui produisent moins de collagène

Dès 25 ans, la production naturelle de collagène ralentit, ce qui peut affecter votre santé intestinale.

C’est pourquoi il est recommandé de faire une cure de collagène marin dès 50 ans pour pallier ce déclin et maintenir un certain confort intestinal.

 

Bienfaits du collagène marin sur les intestins pour les personnes de plus de 50 ans

 

Les peptides de collagène possèdent d’autres propriétés intéressantes pour les personnes vieillissantes : élasticité de la peau, confort articulaire, soutien des os…

Retrouvez à ce sujet notre article sur collagène marin et articulations.

Tous ceux qui ont des régimes alimentaires pauvres en protéines

Une alimentation pauvre en protéines empêche une bonne régénération des tissus intestinaux.

Dans ce cas, un apport en collagène marin est bénéfique pour faire le plein de protéines et soutenir l’intégrité de la paroi intestinale et sa réparation.

Les personnes souffrant de carences nutritionnelles ou de malabsorption

De manière générale, les personnes carencées ou victimes de malabsorption peuvent entamer une cure de collagène marin afin de favoriser l’assimilation des nutriments.

Les sportifs qui souhaitent favoriser l’absorption intestinale

Bien assimiler les nutriments est également essentiel pour les sportifs afin d’optimiser leurs performances.

 

Bienfaits du collagène marin sur les intestins pour les personnes de plus de 50 ans

 

En préservant la santé intestinale et en stimulant la digestion, le collagène marin est une piste intéressante pour les sportifs, sans compter tous les autres bienfaits du collagène marin pour le sport.

Ceux qui ont des ballonnements et des troubles intestinaux fréquents

Enfin, en cas de troubles intestinaux chroniques, le collagène marin contribue à réduire l’inflammation et à apaiser les symptômes. Ainsi, il permet d’améliorer le confort digestif.

 

Bienfaits du collagène marin sur les troubles digestifs : douleurs abnominales, ballonnements, gaz...

 

Comment consommer le collagène marin pour la digestion ?

Consommer du collagène favorise une meilleure digestion. Malheureusement, vous pouvez difficilement compter sur l’alimentation actuelle pour vous apporter suffisamment de collagène.

Il faut donc prévoir une supplémentation, de préférence de collagène marin, plus assimilable que les autres formes.

Pour une meilleure biodisponibilité, nous vous conseillons d’opter pour du collagène marin hydrolysé aux chaînes d’acides aminés plus courtes.

Profitez pleinement des bienfaits de la protéine en optant pour notre collagène marin, de type I & III, breveté Naticol® et certifié Friend of the Sea :

 

 

Hydrolysé à 2000 da, il offre une excellente assimilation pour soutenir la santé et le confort digestifs.

Les différentes façons d’intégrer le collagène marin dans son alimentation

Sur le marché, les formes de collagène marin les plus courantes sont :

  • en poudre,
  • en gélules,
  • en liquide.

Sous forme de poudre, le collagène marin est facile à incorporer dans n’importe quelle boisson chaude ou froide, grâce sa haute solubilité.

Vous pouvez également le mélanger à des aliments liquides, tels que les yaourts, les smoothies bowls ou les soupes.

Dans tous les cas, optez pour un complément qualitatif, certifié par des labels.

Le dosage et la fréquence de consommation

Optimisez les bienfaits du collagène marin pour votre digestion en le consommant à jeun le matin, 30 minutes avant le petit-déjeuner.

Selon votre situation et l’avis de votre médecin, prenez entre 5 et 20 g de collagène marin par jour. Commencez votre cure par des doses plus faibles, à raison de 2,5 à 5 g par jour, afin de laisser à votre corps le temps de s’adapter et d’évaluer la tolérance.

Vous pouvez le mélanger dans un verre de jus de fruit, dans votre thé ou café matinal.

Faites une cure quotidienne. Soyez constant et continuez votre cure plusieurs semaines, voire plusieurs mois. Si une prise régulière et modérée est préférable à des prises conséquentes et sporadiques, la durée de la cure varie selon la gravité de votre état, votre alimentation et vos habitudes de vie. Demandez l’avis d’un professionnel de santé.

Nos conseils pour optimiser l’absorption du collagène marin

Il existe plusieurs façons d’optimiser l’absorption du collagène marin ou de stimuler sa production, notamment en le combinant avec :

  • de la vitamine C, naturellement présente dans les agrumes et les légumes colorés,
  • des resvératrols, naturellement présents dans le chocolat noir, les framboises, les mûres ou les myrtilles,
  • des fibres prébiotiques que l’on retrouve, par exemple, dans l’ail, l’oignon, les poireaux, les asperges ou l’artichaut,
  • des probiotiques, contenus dans les aliments fermentés, le kombucha, le kéfir et certains produits laitiers.

 

Combiner le collagène marin à des probiotiques comme les aliments fermentés) pour la santé intestinale

 

Au contraire, évitez les aliments riches en sucre raffiné, en graisses saturées, ou les alcools, au risque de nuire à son efficacité.

Améliorer votre digestion et votre système intestinal passe également par l’adoption de bonnes habitudes, telles que :

  • Réduire le stress : cause fréquente d’inflammation intestinale.
  • Rester actif : pour favoriser la motilité intestinale et le flux intestinal.
  • Dormir suffisamment : un sommeil insuffisant cause des problèmes de perméabilité intestinale et de l’inflammation.
  • Manger équilibré.
  • Vous hydrater.

 

Conclusion

Le collagène marin est une solution naturelle efficace pour soutenir votre santé intestinale, car il favorise la réparation de la paroi intestinale, améliore le microbiome et réduit les inflammations, tout en facilitant la digestion et l’absorption des nutriments.

Sa haute biodisponibilité et ses spécificités lui permettent de se démarquer des autres types de collagène et en font un complément alimentaire de choix pour votre bien-être intestinal.

Néanmoins, pour une flore intestinale saine, il convient d’adopter une approche globale se basant sur une supplémentation, une alimentation équilibrée, une meilleure gestion du stress, une bonne hydratation, une activité sportive régulière, un sommeil suffisant et réparateur.

Comment courir sans se blesser ? Nos conseils

Courir sans se blesser : nos astuces

La course à pied fait de plus en plus d’adeptes. Simple en apparence, ce sport populaire peut s’avérer éprouvant pour votre corps. Chaque année, près de la moitié des coureurs se blessent. Sollicitations intenses des muscles et des articulations, impacts répétés, surentraînement, les raisons pour lesquelles vous vous blessez en courant sont nombreuses.

Que vous soyez débutant ou coureur confirmé, courir sans se blesser nécessite d’adopter quelques bonnes pratiques avant, pendant et après l’entraînement.

 

Pourquoi la course à pied occasionne-t-elle des blessures ?

Selon plusieurs études, entre 30 et 50 % des coureurs se blessent chaque année.

 

Courir risques de blessure

 

Si ces blessures s’expliquent par de nombreux facteurs, les raisons principales sont :

La course est un sport avec des impacts sur les articulations

La course à pied est une pratique sportive exigeante pour votre corps. En effet, entraînant des impacts répétés, elle sollicite fortement vos articulations.

Ce phénomène s’amplifie en cas de mauvaise technique ou d’équipements inadaptés.

 

La course à pied est le premier sport que ceux qui sont peu en forme souhaitent débuter

Extrêmement populaire et accessible à tous, la course à pied requiert peu d’équipements et peut se pratiquer n’importe où : en salle, en ville, en campagne, à la montagne ou en bord de mer.

C’est pourquoi les débutants souhaitant se mettre au sport ou les personnes voulant se remettre en forme pratiquent souvent le jogging en premier lieu.

Cependant, le manque de pratique et de régularité augmente le risque de blessures. En effet, les blessures sont plus fréquentes chez les coureurs qui ont moins de 5 ans d’expérience ou chez ceux ayant des antécédents de blessures. Un corps manquant d’entraînement est plus vulnérable aux impacts et aux foulures.

 

Beaucoup se blessent en essayant d’aller trop intensément ou trop vite ou en se surentraînant

Dans la pratique sportive, on cherche souvent à se dépasser et on a tendance à intensifier l’effort prématurément. Or, quand on court, surtout si l’on débute ou si l’on reprend, il est primordial d’y aller progressivement.

Malheureusement, nombreux sont ceux qui veulent aller trop fort, trop vite, trop longtemps, emportés par leur motivation ou objectifs. En distance comme en vitesse, les progressions trop brutales ne respectent pas la capacité d’adaptation de votre corps. Le surentraînement ou la surutilisation favorisent le stress mécanique et les micro-traumatismes.

C’est pourquoi il faut adopter une approche progressive, bien se préparer physiquement et suivre les bonnes pratiques pour courir sans douleur, ni blessure.

 

La préparation avant de courir pour éviter les blessures

Courir sans se blesser passe avant tout par une bonne préparation.

 

Utilisez l’équipement (notamment les chaussures) adapté

Tout d’abord, choisissez l’équipement adapté. Pour commencer la course à pied, un t-shirt, un short et une bonne paire de baskets suffisent généralement.

 

Courir sans se blesser : choisir le bon équipement

 

Mais comment choisir une paire de chaussures pour le footing ? Voici quelques critères que vos chaussures doivent respecter :

  • modèle conçu pour le running,
  • modèle confortable et offrant un bon maintien,
  • chaussures adaptées à votre pointure, votre morphologie, votre façon de courir et aux terrains sur lesquels vous courez,
  • chaussures légères et minimalistes : ces chaussures, minces et flexibles, ont une petite différence de hauteur entre le talon et l’orteil, contrairement aux chaussures maximalistes. Moins lourdes et plus près du sol, ces chaussures améliorent votre technique de course, en favorisant les petites foulées et en minimisant l’impact au sol et l’attaque du talon. L’indice minimaliste d’une paire de chaussures se mesure en pourcentage, optez pour des chaussures à l’indice supérieur à 50 %.

Si vous êtes un coureur assidu, pensez à changer régulièrement vos chaussures.

En ce qui concerne la tenue vestimentaire, vous pouvez privilégier les matériaux légers et respirants. Pensez à choisir une tenue adaptée à la météo. Des manchons et des chaussettes de compression peuvent également être utilisés afin de favoriser la circulation sanguine et l’oxygénation des muscles.

 

Échauffez-vous correctement

Ne courez jamais à froid, commencez toujours par une phase d’échauffement, essentielle pour préparer votre corps à l’effort : 

  • augmentation progressive de la température corporelle et du rythme cardiaque,
  • augmentation du flux sanguin,
  • activation de la coordination et de la conscience corporelle,
  • assouplissement et lubrification des articulations, des tendons,
  • étirement et réveil des muscles.

 

Courir sans se blesser : s'échauffer

 

Pour ce faire, nous vous recommandons ces différents exercices :

  • jogging léger ou marche soutenue,
  • mouvements de mobilité dynamique, comme des fentes ou des squats,
  • exercices de stabilisation lombaires, tels que la planche ou le pont.

 

Éviter de consommer des excitants ou des boissons drainantes pour rester hydraté

Afin de garantir une bonne hydratation lors de l’effort, il est important de limiter la consommation d’excitants et de boissons drainantes avant de courir.

De plus, les boissons excitantes peuvent perturber vos niveaux d’énergie.

Pour bénéficier d’un coup de boost et améliorer vos performances tout en restant hydraté, préférez boire une préparation à base de phycocyanine. À ce titre, nous vous recommandons notre phycocyanine concentrée à 4 000 mg/L :

 

 

Sous forme liquide, elle est particulièrement biodisponible et se dilue simplement dans de l’eau ou dans n’importe quelle autre boisson.

 

Intégrer des exercices de renforcement musculaire dans votre routine sportive

Prévenez également les blessures en combinant votre programme de course à des exercices de renforcement musculaire, notamment des pieds et des chevilles.

Par exemple, vous pouvez faire des :

  • fentes avec des poids,
  • entraînements croisés avec des poids,
  • séances de yoga ou de Pilates avec poids,
  • soulevés de terre,
  • squats,

Ces exercices favorisent la force et l’endurance, ce qui permet d’améliorer vos performances et la biomécanique. De cette manière, vous réduisez la fatigue et les risques de blessures.

 

Les bonnes pratiques pendant la course pour courir sans se blesser

Adoptez une bonne technique de course pour limiter l’impact

Si votre technique de course est inappropriée, elle peut favoriser les blessures.

C’est pourquoi il faut, dès le début, adopter une bonne technique en prêtant attention à votre :

  • posture : votre haut du corps et votre tête doivent rester droits et alignés. Vos épaules et vos mains doivent être relâchées et votre tronc légèrement incliné vers l’avant. Laissez vos bras se balancer naturellement en les pliant à environ 90°.
  • contact avec le sol : posez bien vos pieds en dessous de votre centre de gravité, ce qui permet d’éviter les atterrissages trop en avant ou en arrière. Ne posez pas le talon en premier au risque d’augmenter l’impact au niveau des chevilles, des genoux et des hanches. Au contraire, posez d’abord l’avant du pied avant de dérouler. Privilégiez une attaque du pied au sol avec la partie moyenne du pied.
  • cadence (nombre de pas/minute) : pour les débutants, il est recommandé de courir à une cadence de 170 à 190 pas par minute pour éviter les trop grandes enjambées afin de réduire la consommation d’énergie et la force d’impact. Gardez une foulée fluide.

 

Respectez votre rythme et ne forcez pas si vous n’êtes pas entraîné

Écoutez votre corps et respectez votre rythme en fonction de votre condition physique si vous ne voulez pas vous blesser en courant, surtout si vous n’êtes pas entraîné.

En tant que débutant, il est possible de fractionner vos entraînements en alternant course et marche (par exemple, 1 minute de chaque). Bien que votre corps s’adapte rapidement, il ne faut pas forcer au risque de le stresser. La course à pied fractionnée laisse le temps au corps de s’adapter.

 

Courir sans se blesser : choisir le bon rythme, entraînement fractionné

 

Suivez un programme d’entraînement progressif en commençant avec des distances et une vitesse raisonnables. Chaque semaine, vous pouvez ajouter 10 à 15 % de kilomètres. N’augmentez pas le rythme avant 4 à 6 semaines pour que votre corps s’adapte et que les tissus de vos jambes se développent. Augmentez progressivement distance et vitesse tant qu’il n’y a pas de douleurs.

Les douleurs et les tensions sont un signal d’alarme auquel vous devez rester attentif. En effet, elles indiquent que vos tissus sont en souffrance et qu’il faut ralentir. Dans ce cas, on ne progresse pas à l’étape suivante, au contraire, on ralentit le rythme. C’est ce qu’on appelle le concept de quantification du stress mécanique, duquel il faut retenir de ne jamais dépasser votre capacité maximale d’adaptation.

 

Choisissez un terrain adapté à votre niveau réel

Tous les terrains ne se valent pas en termes de difficultés.

Si varier les terrains et privilégier les surfaces irrégulières, telles que le cross-country, permettent une meilleure adaptation et une plus grande variété de mouvements, commencez par des terrains plus adaptés à votre niveau.

Pour débuter, on privilégie les surfaces plates ou à faible dénivelé et pas trop dures pour les articulations, telles que l’herbe, les sentiers en terre, en gravier et en forêt, le sable humide et plat si on vit en bord de mer. Pour les citadins, le mieux est de commencer sur des pistes synthétiques ou des tapis de course. Si vous n’avez pas accès à ce type d’infrastructures, courez sur l’asphalte en changeant régulièrement de côté de route.

 

Courir sans se blesser : choisir le bon terrain

 

Dès que vous progressez, variez les terrains, les dénivelés et inclinaisons.

 

Courir sans se blesser : varier les terrains, surfaces et inclinaisons

 

Hydratez-vous pendant la course

Selon la durée et l’intensité de l’effort, pensez à vous hydrater durant la course.

Retrouvez ici notre guide d’hydratation pour les sportifs.

 

Après la course : favoriser la récupération pour réparer les micro-traumatismes

Après la course, il est primordial de laisser le temps à votre corps de se remettre. Souvent négligée, la période de récupération est indispensable pour prévenir les blessures.

 

Étirez-vous correctement après chaque session

Après chaque séance de footing, étirez-vous correctement pour éviter les courbatures et les jambes lourdes.

 

Courir sans se blesser : s'étirer

 

Quelques minutes d’étirements statiques en fin de séance suffisent. Veillez à bien étirer les muscles sollicités durant la course, notamment les quadriceps, les mollets, les ischio-jambiers et le bas du dos.

Poursuivez avec quelques exercices de récupération active, avec par exemple des mouvements de balancement de jambes ou des marches légères, afin d’éliminer l’acide lactique et de limiter les courbatures.

 

Réhydratez-vous abondamment

Après votre jogging, buvez beaucoup d’eau pour vous réhydrater. La déshydratation, même légère, est propice aux blessures.

 

Courir sans se blesser : s'hydrater

 

Boire abondamment après la course à pied permet de compenser les pertes liées à la sudation, d’évacuer les toxines et d’améliorer la récupération.

Si vous perdez beaucoup d’eau pendant l’effort, vous évacuez également de nombreux nutriments. C’est pourquoi il faut privilégier les eaux riches en minéraux ou les boissons isotoniques.

Retrouvez ici nos articles sur les meilleures boissons pour la récupération sportive.

 

Mangez à la hauteur de l’effort que vous venez de faire

Selon l’effort fourni pendant la course à pied, vos dépenses énergétiques varient, c’est-à-dire que vous ne puiserez pas de la même manière dans vos stocks d’énergie.

Dans tous les cas, s’alimenter suite à votre entraînement est essentiel pour déclencher le processus de récupération et de régénération musculaire.

Il convient de manger rapidement des glucides et des protéines pour réapprovisionner les réserves glucidiques et faire le plein d’acides aminés, indispensables à la réparation et la (re)construction des muscles.

On compte généralement 3 à 4 portions de glucides pour 1 portion de protéines, sachant que l’on estime les besoins en protéines, après un entraînement difficile, à 0,31 g par kilo du poids corporel total. En cas d’entraînement plus court et modéré, les besoins diminuent proportionnellement.

Parmi les aliments à privilégier après une course à pied, on retrouve :

  • pour les glucides : les pâtes, le riz, les légumineuses et les céréales,
  • pour les protéines : la viande, le poisson, les œufs, les produits laitiers, les lentilles et le soja.

Pensez également à compléter votre alimentation avec des fruits (banane, kiwi, ananas…), des légumes (betteraves, épinards, brocolis…) et des bonnes graisses (poissons gras, huiles végétales, oléagineux…). Les fruits et légumes vous apportent des fibres, des vitamines, des oligo-éléments et des antioxydants. Privilégiez les lipides riches en oméga-3, favorables à la récupération.

 

Reposez-vous

Enfin, pour bien récupérer après une course à pied, vous devez vous reposer et éviter le surentraînement qui augmente le risque de blessures.

Les périodes de repos entre chaque entraînement sont indispensables pour que vos tissus et vos muscles puissent se réparer. La durée de repos varie en fonction de l’effort fourni. Ainsi, plus vous avez couru longtemps à une forte intensité, plus vous avez besoin de repos. Au contraire, en cas de course courte et moins intense, le temps de repos sera raccourci.

Si vous êtes un coureur assidu, n’hésitez pas à vous ménager deux coupures annuelles de 2 semaines minimum afin que votre organisme bénéficie du temps nécessaire pour soigner en profondeur les micro-traumatismes.

 

Identifier vos points faibles pour prévenir vos blessures les plus probables

Les blessures les plus fréquentes en course à pied

En course à pied, les blessures sont rarement causées par un événement ponctuel. Elles découlent généralement d’une surutilisation à cause des mouvements répétés et des impacts. Ainsi, elles se développent progressivement, notamment en cas de pratique intensive ou inadaptée du running :

  • technique de course ou équipements inadaptés,
  • manque de préparation,
  • temps de récupération insuffisant.

 

 

Courir risques de blessure

 

Voici les blessures les plus fréquentes chez les coureurs :

  • Genou du coureur ou syndrome rotulien : douleur sourde à l’avant du genou qui intervient pendant l’effort ou en cas de position assise prolongée,
  • Syndrome de la bandelette ilio-tibiale : douleur brûlante ou lancinante à l’extérieur du genou et remontant parfois jusqu’à la hanche, ressentie pendant l’effort.
  • Périostites tibiales : douleur à l’avant ou à l’intérieur de la jambe, au niveau du tibia, s’aggravant avec l’effort. Cette inflammation du périoste survient généralement suite à une traction excessive des muscles ou à des vibrations répétées quand on court sur une surface dure.
  • Fasciite plantaire ou aponévrosite plantaire : douleur à la base du talon ou au niveau de la voûte plantaire, ressentie après l’effort ou dès le lendemain matin.
  • Tendinite d’Achille : douleur au-dessus du talon, en bas de la jambe, qui empêche parfois de remuer les orteils.
  • Déchirures musculaires : le plus souvent à l’arrière des cuisses.
  • Fracture de stress : douleur ou courbature ressentie pendant l’effort et qui s’aggrave au fil du temps.

 

Quand est-ce qu’il est nécessaire de consulter un médecin pour une blessure de course à pied ?

Ressentir des douleurs après la course à pied est fréquent. Votre corps vous alerte que vous avez trop poussé. Il faut donc vous reposer pour récupérer. Les jours suivants, vous devez ralentir le rythme, voire arrêter la course à pied, ce qui n’empêche pas de pratiquer une activité de transfert, telle que la natation ou le vélo.

Si les douleurs persistent plus de 48 h ou s’aggravent, nous vous recommandons de consulter un médecin ou un kinésithérapeute spécialisé.

Consultez en urgence dans les cas suivants :

  • vous avez une douleur intense ou un gonflement au niveau d’une articulation ou d’un os,
  • vous ressentez des engourdissements, des picotements ou une faiblesse dans la zone endolorie,
  • vous ne pouvez pas rester debout ou remuer la zone douloureuse.

Plus les blessures sont prises à temps, plus rapides sont la guérison et la récupération.

Une fois guéri, vous pouvez reprendre la course à pied, mais progressivement.

En cas de pratique régulière de running, optez pour un encadrement médical et sportif par un professionnel compétent et spécialisé.

 

Conclusion

Si la course à pied est un excellent moyen de rester ou de se remettre en forme, elle n’en est pas moins éprouvante pour le corps.

Heureusement, en adoptant les bons réflexes avant, pendant et après votre séance, concernant notamment l’équipement, l’échauffement, la technique de course, l’hydratation, l’alimentation, la récupération, vous pouvez limiter considérablement le risque de blessures.

Commencez progressivement et restez à l’écoute de votre corps. La douleur est souvent un signal d’alarme qui ne trompe pas : c’est qu’il faut ralentir, voire faire une pause.

Récupération musculaire : les 5 meilleurs compléments pour réparer, régénérer et renforcer vos muscles

Meilleurs compléments pour la récupération musculaire

Après une séance d’entraînement, vos muscles ne se contentent pas de se reposer, ils rentrent dans un processus de régénération et de renforcement.

Cette phase de récupération est essentielle pour prévenir les blessures et les courbatures, éviter la fatigue, éliminer l’inflammation, prendre en masse musculaire et optimiser vos performances.

Si une alimentation équilibrée et une bonne hydratation sont indispensables, certains compléments alimentaires peuvent accélérer et améliorer la récupération musculaire.

Découvrez, dans cet article, les 5 meilleurs compléments alimentaires pour réparer, régénérer et renforcer vos muscles après l’effort.

 

Pourquoi utiliser des compléments alimentaires pour la récupération musculaire ?

La récupération musculaire correspond au processus physiologique durant lequel vos muscles se réparent et se renforcent suite à un entraînement.

Il s’agit d’une étape clé pour :

  • restaurer vos fonctions musculaires normales,
  • combattre la fatigue,
  • reconstituer les réserves énergétiques,
  • limiter les dommages musculaires,
  • évacuer l’inflammation et les toxines,
  • prévenir les blessures,
  • et développer votre masse musculaire.

Effectivement, après un effort intense ou prolongé, il est primordial de laisser du temps à vos muscles pour se réparer, se reconstruire et se renforcer. Lors de votre entraînement, vous perdez de nombreux acides aminés, ce qui fragilise les muscles, et qu’il convient de rééquilibrer au plus vite. De plus, les impacts répétés engendrent des micro-traumatismes que vos muscles doivent guérir afin de devenir plus résistants et volumineux. Enfin, lors de l’effort, votre organisme produit des déchets que le temps de récupération permet d’éliminer, afin de limiter les inflammations et les courbatures.

Pour ce faire, vous devez vous reposer, vous hydrater et miser sur une alimentation appropriée, riche en protéines. Une supplémentation est également envisageable pour vous apporter les nutriments nécessaires et soutenir la santé de vos fibres musculaires : maintien, réparation et développement.

 

Meilleurs compléments pour la récupération musculaire

 

Les 5 meilleurs compléments alimentaires pour la récupération musculaire

La phycocyanine : pour préserver et développer vos fonctions musculaires

Extraite de la spiruline, la phycocyanine est un complément alimentaire essentiel pour la récupération musculaire :

  • Anti-oxydante : elle réduit le stress oxydatif causé par l’effort intense. De cette manière, elle aide à prévenir l’apparition de crampes, de courbatures, de tendinites, ainsi que de la fatigue.
  • Détoxifiante : elle favorise l’élimination des déchets générés lors de l’effort.
  • Anti-inflammatoire : elle atténue les douleurs musculaires.
  • Production d’oxyde nitrique : la phyco favorise la circulation sanguine et l’oxygénation des muscles, ce qui permet de préserver vos fonctions musculaires et de bénéficier d’une meilleure efficacité musculaire.
  • Croissance des cellules musculaires : la phycocyanine favorise la réparation des fibres musculaires post-entraînement.
  • Développement musculaire : elle vous apporte des protéines et des acides aminés indispensables au développement des muscles.

 

Comment intégrer la phycocyanine à votre routine sportive pour la récupération musculaire ? 

Pour faciliter la récupération musculaire, nous vous conseillons de consommer la phycocyanine diluée dans votre gourde de récupération à boire dans les 30 minutes après l’effort.

Vous pouvez très bien faire une cure quotidienne d’1 à 2 cuillères à café de phycocyanine le matin à jeun à compléter par une boisson de récupération à base de phyco à la fin de chaque entraînement pour maximiser ses bienfaits.

Consommer la phycocyanine avant l’effort possède aussi des bénéfices :

  • Booster le tonus musculaire et l’énergie,
  • Prévenir la fatigue et les douleurs musculaires,
  • Améliorer les performances et l’endurance.

Plébiscitée par les sportifs, la phycocyanine est surtout recommandée pour ceux qui pratiquent un sport d’endurance, le fitness ou la musculation.

La whey : parfaite pour régénérer et renforcer les fibres musculaires

La whey est une protéine, issue du lactosérum, riche en BCAA et en acides aminés essentiels. Rapidement assimilable par l’organisme, elle est une alliée de choix pour la récupération musculaire, car elle favorise :

  • la synthèse protidique,
  • la réparation et la protection des fibres musculaires,
  • le développement des muscles.

Complément pour la récupération musculaire : whey

 

Comment intégrer la whey à votre routine sportive pour la récupération musculaire ? 

Diluez 20 à 30 g de whey dans de l’eau ou dans votre shaker de récupération.

Si un concentré de whey permet de faire le plein d’acides aminés en 1 h, une whey isolate ne nécessite que 30 minutes pour être parfaitement assimilée. C’est la raison pour laquelle la qualité de votre whey est primordiale. Préférez la whey isolate ou hydrolysée pour une biodisponibilité accrue et profiter pleinement de votre fenêtre anabolique post-effort.

Les BCAA : pour réduire le catabolisme et augmenter l’anabolisme

Les BCAA sont des acides aminés à chaîne ramifiée, regroupant de la leucine, de l’isoleucine et de la valine. Ces acides aminés sont essentiels pour la récupération musculaire, car ils :

  • inhibent le catabolisme, soit la dégradation des muscles,
  • stimulent l’anabolisme, soit la synthèse protidique, indispensable à la reconstruction et la croissance des muscles,
  • développent la puissance musculaire,
  • réduisent les courbatures, la fatigue et les douleurs musculaires.

 

Complément pour la récupération musculaire : BCAA

 

Comment intégrer les BCAA à votre routine sportive pour la récupération musculaire ? 

Selon l’effet désiré, vous pouvez consommer 5 à 10 g de BCAA avant et après l’exercice afin de maximiser les bénéfices de l’entraînement (performance, prise de masse) et la récupération.

En phase de récupération, les BCAA présentent l’avantage d’être directement assimilables, soit encore plus rapidement que la whey.

Si vous souhaitez prendre des BCAA et de la whey suite à votre entraînement, prenez d’abord des BCAA à la fin de votre session, puis complétez avec un shaker de whey 30 minutes plus tard.

On recommande les BCAA aux athlètes d’endurance et aux haltérophiles.

Le collagène marin : essentiel pour la récupération articulaire et musculaire

Le collagène marin joue un rôle essentiel dans la récupération musculaire et articulaire.

Constituant majeur des tissus conjonctifs, le collagène est indispensable pour préserver la santé de vos articulations et de vos muscles.

Le collagène marin est bénéfique pour les sportifs post-entraînement à plusieurs titres :

  • Renforcement des tendons, des ligaments, des articulations et des muscles,
  • Réparation des tissus conjonctifs,
  • Prévention des blessures, des douleurs articulaires et des courbatures,
  • Réduction des douleurs.

Comment intégrer le collagène marin à votre routine sportive pour la récupération musculaire ? 

La récupération articulaire est plus lente que la récupération musculaire (environ 72 h).

Pour les sportifs souhaitant améliorer leur récupération articulaire et musculaire suite à une activité physique intense ou répétitive, nous recommandons une cure quotidienne de 5 à 10 g de collagène marin hydrolysé.

Afin d’en améliorer l’assimilation, consommez la poudre de collagène diluée dans une boisson ou un smoothie à jeun, en dehors des repas, le matin ou avant le coucher.

Le magnésium : un minéral essentiel pour réparer et relaxer les muscles

Le magnésium est un oligo-élément essentiel pour la récupération, car il participe à :

  • relaxer les muscles,
  • soutenir le fonctionnement musculaire,
  • réduire et prévenir les crampes;
  • accélérer le métabolisme énergétique,
  • réparer les micro-lésions causées par l’exercice intense,
  • réparer et construire les tissus musculaires,
  • augmenter la force musculaire,
  • améliorer le sommeil et la gestion du stress,
  • réduire la fatigue musculaire après l’effort.

Comment intégrer le magnésium à votre routine sportive pour la récupération musculaire ?

En tant que sportif, privilégiez les aliments riches en magnésium. Vous pouvez également compléter vos apports grâce à une supplémentation en respectant une dose quotidienne entre 300 et 400 mg.

Pour optimiser les bienfaits de l’oligo-élément, n’hésitez pas à en consommer avant et après l’entraînement. Le magnésium peut se consommer 1 h avant le sport afin d’améliorer les performances et de prévenir l’apparition de crampes et de la fatigue. Après le sport, le magnésium se consomme en fin de séance afin de soutenir la récupération musculaire et la réparation des tissus. Vous pouvez aussi prendre le magnésium juste avant de vous coucher pour vous détendre, mieux dormir et récupérer.

Le magnésium fonctionne en parallèle d’autres minéraux, tels que le calcium et le potassium, dont il faut surveiller les apports.

 

Quelles habitudes adopter pour améliorer la récupération musculaire en parallèle de votre supplémentation ?

Si les compléments alimentaires peuvent soutenir et accélérer votre récupération musculaire, ils sont indissociables d’un mode de vie sain.

 

Récupération musculaire et bonnes habitudes : étirements

 

Voici les meilleures habitudes à adopter pour améliorer votre récupération musculaire parallèlement à votre supplémentation :

  • Bien s’hydrater : L’eau favorise la régénération musculaire et élimine les déchets générés pendant l’effort.
  • Manger équilibré : La récupération musculaire passe aussi par votre assiette, car vous devez restaurer les stocks épuisés lors de l’effort grâce à une alimentation équilibrée, riche en protéines, glucides, lipides et micronutriments (vitamines et minéraux).
  • Dormir et se reposer : Un sommeil suffisant (7 à 9h) et de qualité est indispensable pour la reconstruction des fibres musculaires.
  • S’étirer et se masser (ou se faire masser) : Les étirements et les massages préviennent et soulagent les douleurs et les tensions musculaires. Ils améliorent également la circulation sanguine.
  • Se relaxer : Les techniques de relaxation réduisent le stress, ce qui favorise un sommeil de qualité et une meilleure récupération.

 

Conclusion

La récupération musculaire joue un rôle crucial pour optimiser vos performances et préserver votre corps des blessures.

En consommant des compléments alimentaires adaptés, tels que la phycocyanine, la whey, la BCAA, le collagène marin et le magnésium, vous pouvez accélérer la réparation et le développement de vos muscles.

Combinés à une bonne hygiène de vie – hydratation, alimentation équilibrée, sommeil de qualité, étirements et relaxation – ils vous aideront à récupérer plus vite et à progresser durablement.

 

FAQ : Les compléments alimentaires pour la récupération musculaire

Quel complément prendre pour la récupération musculaire ?

Pour favoriser la récupération musculaire, privilégiez les compléments riches en protéines et en acides aminés essentiels, tels que la whey et les BCAA, mais aussi la phycocyanine, le collagène et le magnésium. Chacun d’entre eux possède des propriétés intéressantes pour accompagner la récupération : réparation des tissus, développement des muscles, anti-oxydant, anti-inflammatoire, relaxation musculaire, anti-fatigue musculaire…

Quel supplément prendre quand on s’entraîne ?

Plusieurs compléments alimentaires sont intéressants pour les entraînements comme la phycocyanine, la spiruline, les BCAA, la créatine, les vitamines B, les oméga-3…

Comment accélérer la récupération musculaire ?

Pour accélérer la récupération musculaire, vous devez adopter de bonnes habitudes, soit : dormir suffisamment, bien vous hydrater, manger équilibré, vous relaxer et vous étirer convenablement. Vous pouvez également vous supplémenter afin de compenser les pertes nutritionnelles liées à l’effort.

Quel est le meilleur complément post-workout ?

Tout dépend du sport pratiqué.

Après une séance de musculation, vous pouvez prendre de la whey et des BCAA pour soutenir la récupération et la croissance musculaire. La phycocyanine, le magnésium et les glucides rapides comme la maltodextrine, sont particulièrement intéressants après une séance de sport d’endurance. Pour tous les sports à fort impact, tels que le running, pensez au collagène afin de soulager et de réparer vos articulations.

Quelle vitamine prendre après le sport ?

Vous pouvez consommer des aliments riches en vitamine C et en vitamine E après le sport afin de faire le plein d’antioxydants et de protéger vos muscles.

Quelle protéine est la meilleure pour la récupération musculaire ?

La whey isolate est considérée comme la meilleure protéine pour la récupération musculaire en raison de sa haute biodisponibilité et de sa composition riche en acides aminés.